Syndrome de l’intestin irritable : guide pour vivre mieux

 

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Il me tient tant à cœur de pouvoir partager mon expérience & toutes mes clés récoltées… sachant qu’elles pourront énormément apporter & soulager un grand nombre de personnes (et enrichir d’autres personnes pouvant faire le relai à des proches).
Se souvenir, durant votre lecture & découverte qu’il est précieux de se les approprier en les personnalisant…

 

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L’alimentation est un élément extrêmement important à prendre en considération pour les personnes atteintes de SII : une alimentation ajustée, adaptée & personnalisée peut soulager les maux à un point tel que ceux-ci peuvent disparaître en totalité si le plan psychique / émotionnel (que nous verrons plus loin) est lui aussi pris en considération & se trouve en harmonie.

 


 

Les questions (bien légitimes) que l’on peut se poser

♦ La question du gluten / lactose / soja / œufs… et leurs éternels débats du «sans».
Ma réponse découle autant de la thérapeute & de la jeune femme que je suis.
La première tient à souligner – encore – à quel point il est important de s’écouter, d’essayer (et de renouveler les tentatives plusieurs mois / années après).
L’éviction de ces 3 aliments (et leurs dérivés) peut effectivement grandement amélioré la qualité de vie des personnes atteintes du SII… mais il est parfois inutile de les supprimer lorsque le «terrain» de la personne n’y ai pas sensible.
Une personne peut avoir des signes du SII sans être intolérante à l’une de ces substances, et être simplement sensible à l’un des composants Fodmap (fructane du blé ou seigle, lactose du lait, etc.).
La seconde a appris à relativiser & prendre de la distance entre les jolies étiquettes que l’on voit fleurir partout sur la toile & dans la vraie vie… et la manière dont mon petit corps les ressent.

Si l’on en consomme, il faut privilégier des aliments de qualité :
▸ pour le gluten : pain bio au levain au petit épeautre et/ou contenant des graines de lin
▸ pour le soja : privilégier ceux qui ont une traçabilité sans OGM, ainsi que privilégier ceux d’origine française
▸ pour les produits laitiers :
– d’un point de vue digestibilité, privilégiez les fromages affinés (pâtes molles ou dures) de plus de trois mois, et évitez les fromages frais (plus ils sont frais, plus ils contiennent du lactose) : camembert, brie, comté, gorgonzola, gruyère, emmenthal, mimolette, parmesan, cantal.
– ensuite, pour le côté «sain», veillez à préférer les brebis & chèvre avec parcimonie (bleus, roquefort, tomme de chèvre ou brebis)

Enfin, essayez de limiter leur fréquence de consommation en prenant en compte lorsqu’ils sont «cachés» (le gluten se retrouvant dans bon nombre de produits transformés sucrés ou salés).

La question du gluten / lactose / soja est un vaste (et passionnant) sujet : des ouvrages ont été écrits à leurs sujets, et l’on continue chaque jour à comprendre de nouveaux éléments, chaque mois passant connait de nouvelles études scientifiques qui viennent consolider des hypothèses… ou effriter d’autres.
Il est parfois difficile de s’y retrouver : les lobbys s’y glissant (lien produit laitier), la génétique s’en mêlant (le métabolisme des Asiatiques digère mieux les produits de soja), la qualité & fréquence de consommation du gluten ayant son importance… et tant d’autres paramètres.
Il n’existe pas une seule vérité, mais plusieurs vérités : la vérité que chacun a à un instant T de sa vie (et qui peut, elle aussi, évoluer).

 

✩ Suggestions de lectures / partages gourmands ✩

Le livre le mieux construit, complet, pédagogique & pratique, et gourmand que j’ai pu lire à ce sujet est celui de Flo Makanai : «Intolérances alimentaires, sensibilités & allergies – version 2015».
Florence est une jeune femme vraiment merveilleuse : maman de 4 enfants, chacun d’eux (ainsi que son mari) ont des allergies à des groupes d’aliments différents (tofu, lactose, gluten, noix, etc.) : elle a décidé de mettre à profit son esprit cartésien & scientifique (elle est chercheuse de métier) en les mêlant à sa fibre maternelle pleine d’amour pour relever ce grand obstacle de la vie afin de prendre soin de sa famille… et d’aider au passage tous ces lecteurs, et les personnes sensibles & allergiques.
Le fruit de son travail est réellement magnifique.

Sur le marché, il existe tant d’ouvrages sur le sujet…
Parmi toutes mes lectures, mes préférés (pour leurs côtés scientifique / pratique et/ou gustatif) sont listées ici dans la section «Livres ☁ « Sans » (gluten/oeuf/lactose)».

 

pain maison qualite

 

Végétarien ou végétalien ?
La thématique du végéta*isme peut s’amener à nous en amont (nos habitudes de vie y tendent déjà lorsque l’on apprend / comprend que l’on est atteint du SII), ou en aval (une fois que l’on a appris / compris que l’on en est atteint, la question d’opter pour cette alimentation pour soulager nos maux peut se poser).

Les protéines (animales ou végétales) demeurent essentielles pour le maintien d’une bonne santé, et le fonctionnement de notre organisme : outre le fait qu’elles jouent un rôle structurel (os, articulations & notre musculature), elles agissent également sur le fonctionnement de nos systèmes hormonal, immunitaire & digestif (sont indispensables pour l’assimilation de certains micronutriments), ainsi que notre beauté (cheveux / ongles / peau).
… il est donc très important que notre organisme puisse en avoir en quantité suffisante (*).

Dans le cas des personnes atteintes du SII, la consommation de certaines des protéines :
engendrera assurément des troubles : légumineuses.
En période de crise : mieux vaut éviter la consommation de toutes les légumineuses.
En dehors des périodes de crise : l’on peut en consommer avec parcimonie en veillant à (1) les préparer avec soin, (2) privilégier les plus digestes (lentilles corail en premier & toutes les autres lentilles ensuite), (3) préférer les consommer sous leurs formes mixées, et en consommer en très petite quantité.
(Plus d’informations sur ces 3 points se trouvent dans la partie «Les légumineuses» ci-dessus)
pourra engendrer & accentuer certains maux : tofu (et produits dérivés du soja), œufs, et produits laitiers (surtout les frais), et ce, selon le profil & sensibilité de chacun.
Si l’on est sensible à l’un d’eux : on veillera d’éviter à en consommer trop régulièrement & en trop grande quantité, et à les supprimer totalement en période de crise.
(Plus d’informations sur l’éviction de ces 4 aliments se trouvent dans la partie concernée ci-dessus)

Il peut donc s’avérer difficile d’opter pour un régime végétarien lorsque l’on est atteint du SII… mais non impossible ♥
Si l’on souhaite opter pour ce type d’alimentation, on peut se faire accompagner d’un professionnel de santé ayant des connaissances pointues sur le sujet.
Enrichir régulièrement son alimentation de microalgues d’eau douce (spiruline & chlorella – lien) est une des nombreuses manières de veiller à un apport de qualité en protéines (et autres micronutriments) qui est en plus bénéfique pour notre flore intestinale, ainsi que notre équilibre acido-basique ✩
La consommation régulière d’œufs (si l’on est végétarien) est aussi une excellente manière de maintenir une alimentation végétarienne de qualité – les œufs étant une des sources de protéines les mieux assimilés (toutes sources de protéines confondues, animales & végétales, grâce à un UPN élevé).

(*) Autre point (très) important à prendre en compte : de récentes études scientifiques ont mis en évidence que nos flores intestinales peuvent être catégorisées en «profil», elles aussi (au même titre que les profils naturopathiques / ayurvédiques / chinois… ou pour les esprits plus cartésiens : nos groupes sanguins).
Selon ces études (abordées notamment dans cet ouvrage – lien), il existe un groupe de flore intestinale qui aurait la capacité d’extraire plus & mieux assimiler les protéines que les autres groupes…
… ce qui signifie que pour un même repas (ou une même journée / semaine), les quantités digérées & assimilées selon les groupes de flore intestinale seraient différentes. Ainsi, les personnes faisant partie de ce groupe pourraient consommer moins de protéines sans pâtir de carences protéiques.

Une autre question intéressante au sujet des protéines peut être soulevée…
… une question qui est clairement ressortie lorsque je croise les différentes variables dans mes accompagnements de Naturopathie : lorsqu’une personne opte pour ce type de régime plus pour des raisons éthiques / spirituelles / écologiques que gustatives, pouvant donc entrainer des sentiments de frustration plus ou moins récurrents & forts, les cas de carences sont beaucoup plus fréquents & élevés.

 

Aide transit lent

Voici quelques petites clés pour toutes les personnes ayant un transit ralenti : que l’on soit atteint du SII ou non, que ces désagréments soient ponctuels ou récurrents, ils seront bénéfiques pour tous ♥

Farine de coco : cette petite farine est absolument magique. Extrêmement riche en fibres douces pour les intestins, elle surpasse (de beaucoup) le son d’avoine, les pruneaux & tout autre aliment connu & réputé pour ses propriétés laxatives.
Toutes les informations relatives à la farine de coco se trouvent ici : «Farine de coco» : des informations sur sa richesse nutritionnelle, ainsi que des informatiques pratiques & gourmandes sont là pour vous.

Boire suffisamment & limiter les boissons chaudes : il faut plus que jamais veiller à s’hydrater convenablement (entre 1 litre à 2 litres selon notre terrain & nos habitudes alimentaires / activités physiques) en buvant de l’eau, et en limitant les boissons chaudes (café, thé, tisanes & infusions) pour les raisons évoquées précédemment dans la partie «Boissons».
La constipation peut être due (ou être accentuée) par une insuffisance hydrique dans la partie colonique… ainsi, boire une eau de qualité en quantité suffisante hydratera les selles en s’associant aux fibres alimentaires (douces) : un gel se forme pour lubrifier les matières fécales, et les aide à être évacuées avec plus de facilité & rapidité.

Consommer suffisamment & régulièrement des huiles végétales de qualité, et plus particulièrement l’huile de chanvre dont le profil est équilibré & idéal pour tous, ainsi que l’huile de coco.
Les quantités doivent varier de 3 à 6 cuillères à soupe quotidiennes… une fourchette à adapter en fonction de ses habitudes de vie (alimentaires & activités physiques).

♦ La chlorella est une merveilleuse petite poudre pour aider & soulager les petits ventres paresseux et/ou irrités par l’accumulation de selles.
Toutes les informations relatives à la chlorella se trouvent ici : «Chlorella» : des informations sur sa richesse nutritionnelle, ainsi que des informatiques pratiques & gourmandes sont là pour tous.
Attention… La chlorella étant un superaliment extrêmement riche, il convient de suivre avec soin les conseils prodigués dans la partie «Quantité ?».

 

Aide transit rapide

Voici quelques petites clés pour toutes les personnes ayant un transit trop rapide : que l’on soit atteint du SII ou non, que ces désagréments soient ponctuels ou récurrents, ils seront bénéfiques pour tous ♥

♦ Une monodiète de riz blanc : une monodiète consiste à consommer un seul aliment sur une période allant d’un repas à plusieurs journées.
En cas de transit trop rapide, une monodiète sur un repas ou une journée soulagera rapidement & énormément les petits ventres enflammés.
Si tous les riz peuvent être choisis du moment qu’on leur déclinaison raffinée (blanc), on peut aussi privilégier le basmati qui est le seul contenant de la L-glutamine : une substance ayant des propriétés cicatrisantes & régénératrices de la muqueuse intestinale (et donc bénéfique en cas d’inflammation).
On peut agrémenter notre riz d’aromates (fraiches ou séchées), ainsi que d’épices douces (cardamome, cannelle, vanille, gingembre, etc.), mais on évitera les piments, le sel & le poivre.

Boire l’eau de cuisson du riz (lorsqu’on opte pour la cuisson à l’eau) est également un petit geste tout simple pour apaiser les petits ventres enflammés par un transit trop rapide.

♦ Les carottes cuites sont à privilégier autant que possible : on peut les manger seule, ou en complément d’une assiette de riz blanc.
On peut aussi en faire de merveilleuses purées de légumes comme celle-ci : «Duo gourmand à la carotte dans une mousseline» et celle-ci : «Mousseline de carotte doudou».

♦ La consommation d’argile blanche sous forme de lait ou eau est un outil merveilleux à utiliser en fond & en cure lors de crise selon ces petits points :
L’eau d’argile consiste à mélanger une cuillère d’argile avec de l’eau dans un verre, le soir avant de se coucher (mélangez jusqu’à ce que le résultat soit bien homogène).
Le lendemain matin, l’argile se sera déposée au fond en laissant à l’eau un léger trouble : boire l’eau d’argile consiste à boire cette eau en veillant à laisser le dépôt d’argile au fond.
L’eau d’argile peut être consommée 1 à 3 fois par semaine, sur le long terme.
Le lait d’argile consiste à procéder exactement de la même manière que l’eau d’argile, à la différence près que le lendemain matin, le mélange doit être remélangé & bu intégralement.
Le lait d’argile est plus à consommer en période de crise, et donc de manière ponctuelle (elle peut être consommée plusieurs jours d’affilés).
Attention : une cuillère en plastique, bambou ou bois doit être utilisée… et on ne doit surtout pas utiliser de cuillère en inox ou autre métal (le contact de ceux-ci désactivant les propriétés de l’argile).
L’argile en interne a de nombreuses propriétés : on peut les découvrir à travers de petits ouvrages comme celui-ci.

♦ Le charbon est connu depuis des millénaires pour ses très nombreuses propriétés (un minuscule aperçu ici).
Il doit être consommé plutôt en période de crise plutôt que sur le long terme : une cuillère à café (voir à soupe) mélangé dans un verre d’eau, laisser reposer 1 à 2 minute(s), puis boire l’intégralité du verre. Il convient de le consommer en dehors des repas, et espacer d’au minimum 4 heures de toute prise médicamenteuse (le charbon chélatant les molécules des médicaments, il annulerait donc leurs effets).
Les personnes atteintes de la maladie de Crohn doivent absolument éviter la consommation du charbon.

 

Mes 6 clés les plus précieuses

Outre le fait de concevoir mes repas en fonction des aliments à privilégier & éviter, voici les 6 clés ayant le plus d’impact sur ma qualité de vie :

♥ Opter pour mon Petit Déjeuner de Fée.
♥ Cuisiner avec le Vitamix des crèmes doudou au minimum une fois par jour.
J’ai déjà essayé de réaliser ces mêmes crèmes de légumes avec d’autres blenders dont la puissance variait de moyenne à forte (dont le Themomix & le Magimix), sans qu’aucun n’égale le résultat du Vitamix.
♥ La consommation régulière de chlorella.
Manger à heures relativement fixes
♥ Respecter la liste des fruits & légumes compatibles
Supprimer totalement ma consommation de légumineuses (exception faite des lentilles corail avec parcimonie & mixées)
… chacune de ces 6 précieuses clés est détaillée précédemment dans cet article, et plus d’informations sur chacun d’eux sont disponibles sur leurs pages respectives.

 

Recettes pour personnes atteintes du SII

Quel merveilleux sujet d’ouvrage cette thématique ferait ♥
En attendant que ce livre Pastel sorte, la rubrique «Petit ventre sensible» regroupe toutes les recettes que peuvent suivre & adapter les personnes atteintes du SII.

 

Pour clore sur les notes gourmandes…

Le sujet de l’alimentation pour les personnes atteintes du SII est un si vaste sujet…
Au son sein, celui des aliments allergisants / pro-inflammatoires / sensibilisants est lui aussi si vaste, qu’il est difficile à aborder en profondeur, même au sein de cet article bien dense : sentez-vous libre de soulever des petits points & de poser vos questions sur tous les aliments que l’on peut songer à glisser dans ce paragraphe.

L’alimentation est donc un élément extrêmement important à prendre en considération pour les personnes atteintes de SII… mais ne suffit pas.
Il faut conserver à l’esprit que le SII découle d’un lien entre les cellules nerveuses de notre système nerveux & de notre système digestif ayant une architecture différente de la majorité du reste de la population dite « saine ».
En plus d’une alimentation adaptée, il faut donc en parallèle agir sur la sphère psychique / émotionnelle.

 

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92 commentaires

  1. Arnaud

    Bonjour, je fais suite aux échanges que vous avez eu sur ces commentaires avec Angela en mars 2019. Angela évoquait d’autres symptomes, notamment une fatigue dans ou derrière les yeux. Je souhaiterais revenir là dessus. j’ai eu pour ma part une amibiase il y a 15 ajns, contractée au Guatemala. J’ai été soigné après 8 mois de malaldie non diagnostiqué. depuis la guérison du paraisite, j’ai retrouvé une vie normale, mais j’ai conservé des sortes de maux de têtes, qui sont très eactement des douleurs aux yeux, ou derière les yeux, comme l’exprime Angela. cela fait 20 ans que j’ai ces douleurs qui se réveillent réguliètrement, et qui semblent liés à mon hygiène de vie. j’ai fait tous les examens possibles et imaginables au niveau gastro entérologie. Docteur Gentilini, le grand expert des maladies tropicales, parlaient pour les amibiens comme moi d’une colite chronique post amibienne, avec des troubles neurogétatifs (fatigue, maux de tête,…). Aucun remède actuellement ne fonctionne sur ces symptômes me concernant, et je me retrouve classé dans ce syndrôme du colon itriatble même si les symptômes du colon sont très faibles et absolument pas génants. Est-ce que cela vous parle? Est-ce qu’Angela qui lira peut-être ce message, ou pas malheureusement, a suivi les préconisations des personnes SII, ou autre traitement? merci à vous Mély.

    samedi 9, mai 2020 à 16h03
  2. Andrea

    Bonjour j’aimerais savoir si tu supportais les purées d’amandes ou de cacahouètes ou sésames ou si tu savais les quelques était les plus digeste.merci

    dimanche 9, août 2020 à 16h44
    1. Mély

      @ Andrea : Bonjour,
      personnellement, pendant mon pic inflammatoire, je ne supportais aucun oléagineux : entières, poudre ou purée.
      Après, comme je le mentionne très souvent dans mes partages (et dans ce guide) : on est tous différents face à ce symptôme, notamment selon l’intensité de l’inflammation.
      Pendant les 5 premières années (où je n’avais pas mon pic inflammatoire), je mangeais régulièrement des purées d’oléagineux sans souci (quelques ballonnements, c’est tout).
      A voir en fonction de chacun, donc.

      lundi 10, août 2020 à 10h22
  3. Florence

    Bonjour j’aimerais refaire un cure de pollen et on m’a proposé un pollen au pollen de ciste et de châtaignes et d’anis vert et je voulais savoir si tu pensais que un mélange de plusieurs pollen pouvait être difficile à digérer je souffre de l’intestin irritable et je voulais tester le pollen de châtaigne mais ils n’ont n’en plus .merci de ton aide .

    samedi 12, septembre 2020 à 9h52
    1. Mély

      @ Florence : Bonjour ✩
      Difficile à répondre, il faudrait que je connaisse ton profil / bilan Naturopathique.
      En théorie, les différents pollens FRAIS peuvent être consommés. Commencer à petite dose si on a peur d’une réaction (sensibilité intestinale ou autre).

      dimanche 13, septembre 2020 à 13h58
  4. Andréa

    Bonjour j’ai acheté un complément en urucum de chez guayapi et il met qu’il faut en prendre entre 3 et 6 par jour mais c’est pour bronzer pensez-vous que je peut en prendre seulement 1 ou 2 par jour et avoir quand même des effets positifs pour mes intestins et les effets antioxydants et peut-on le prendre avec du beurre végétal ( primevère ) merci .

    samedi 30, janvier 2021 à 10h02
    1. Mély

      @ Andrea : Bonjour,
      L’écrasante majorité des margarines sont à éviter, primevère inclus. Il vaut mieux utiliser du ghee (beurre clarifié) ou du beurre cru et bio.
      Concernant l’urucum / quantité : 1 à 2 peut être suffisant.
      Il est aussi important de compléter par une cure de glutamine (voir ma vidéo à ce sujet ici – CLIC).

      mardi 2, février 2021 à 10h41
  5. Andrea

    Bonjour pourquoi il faut éviter les margarines ?merci

    mardi 2, février 2021 à 12h22
    1. Mély

      @ Andrea : Car leur composition n’est pas du tout qualitatif, ni en adéquation avec nos besoins, notre physiologie.
      Lisez l’étiquette suffit à avoir un aperçu. Sans pour autant comprendre le détail des conséquences de chaque ingrédient.

      mardi 2, février 2021 à 17h47
  6. Courbot

    Bonjour ;
    suite a des contrariées de la disparitions d »une amie superbe
    je rencontre des crises de Colopathie .
    je viens de lire votre page qui m »aide énormément a m »alimenter autrement
    car il y a eu du stress ;mais l »alimentations est très importante dans ces cas .
    merci de votre Aide

    Cordialement Odile

    mardi 27, juillet 2021 à 18h35
  7. Ursula

    Pourquoi ne faut-il pas diluer d’HE dans de l’eau ? Merci!

    vendredi 18, mars 2022 à 16h53
    1. Mély

      @ Ursula : Bonjour,
      Tout simplement parce que les huiles essentielles ne sont pas solubles dans l’eau (hydrosolubles). Elles ont besoin d’un support gras (huile, purée d’oléagineux) ou miel ou yaourt ou mie de pain.

      jeudi 24, mars 2022 à 8h53
  8. Ursula

    Bonjour Mely merci pour votre réponse. En ce cas, est-il possible de poser une goutte directement sous la langue ? Merci

    jeudi 24, mars 2022 à 8h55
    1. Mély

      @ Ursula : Bonjour,
      non, il faut les prendre sur les supports cités dans mon précédent commentaire. Ni pures (seules), ni dans l’eau.

      vendredi 25, mars 2022 à 14h27

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