- Le 30 Jan 2020
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Mes sagas préférées…
Nous avons tous des livres qui nous marquent.
De leurs pages à notre cœur, un chemin se fraye.
Même après avoir fermé et terminé le livre, les mots d’un auteur resteront gravés dans un recoin de notre âme… et même si notre esprit, peu à peu, voit s’envoler les détails de la saga, une trace indélébile demeurera en nous.
Depuis toute petite, je lis. Beaucoup. Je dévore.
Enfant, souvent, plutôt que jouer dehors avec des camarades, il m’arrivait de passer mes récréations au CDI, plongée dans les livres.
En grandissant, entre 15 ans et 19 ans, j’ai quelque peu délaissé la lecture, pensant (à tort, évidemment), que les romans qu’on nous faisait lire au lycée étaient désormais les seuls adéquats à notre âge. Les appréciant alors que peu, je me suis éloignée de ces mondes imaginaires.
Puis, à 19 ans, il y a eu Harry Potter. J’ai alors renoué avec ma passion, mon refuge que sont les livres.
Progressivement, au fil des années, j’ai étendu les thématiques de mes lectures : si je pense être assez éclectique, je demeure (très) difficile. Des coups de cœur, j’en ai… mais ils restent rares.
Entre les romans « one-shot » et les sagas, j’ai un penchant indéniable pour ces dernières : j’aime m’attacher à des personnages, voyager dans des univers imaginaires, rester imbibée avec tout cela pendant plusieurs mois, années.
Lorsque je termine une saga, qu’importe la fin, si je suis souvent submergée par un sentiment profond de deuil, une immense vague à l’âme, j’ai aussi l’impression que les pages lues m’ont fait grandir, mûrir, et m’ont enrichie comme aucune expérience n’aurait pu le faire. C’est presque magique.
Voici toutes les sagas qui m’ont transportée, émue, bouleversée et enrichie. Parmi elles, il y a des sagas réalistes (qui se déroule dans notre même monde), et des sagas fantastiques… j’espère que chacun(e)s d’entre vous y découvrira de belles références qui vous fera voyager ✭
Mes sagas préférées
Sagas « réalistes »
« Le chat qui… » de Lilian Jackson Braun
→ La liste des 30 romans dans leur ordre de lecture – Le 1e tome
♦ C’est ma sœur qui m’a fait découvrir cette saga, il y a près de 20 ans de cela. On a eu un coup de foudre pour l’univers unique et atypique créé par Lilian Jackson Braun. De 1966 à 2007, cette auteure américaine a écrit un total de 30 romans, composant cette saga : l’œuvre d’une vie.
L’histoire met en scène M. Qwill – un journaliste proche de la retraite – et ses deux chats siamois : Koko et Yum Yum.
Exceptés les quatre premiers romans (se déroulant à Chicago), on évolue dans une petite ville près de la région des Grands Lacs aux États-Unis : quiétude, forêt, campagne sont d’excellents mots-clés retranscrivant l’univers de cette saga.
Chaque tome relate l’enquête d’un crime commis dans cette petite ville de campagne : vol, escroquerie, meurtre… l’auteure a une imagination sans fin, à chaque fois renouvelée avec brio. D’une manière ou d’une autre, Qwill se trouve toujours, bien malgré lui, happé par l’enquête, et se fait aider par… Koko, son chat siamois.
♦ Pourquoi je l’ai aimé : pour l’univers calme dans lequel les personnages évolués (cabane en bois, lacs, forêt, petite ville). Pour l’évolution de tous les personnages secondaires qui sont tous nombreux et attachants à leur manière. La description des repas y est si détaillée, qu’on a l’impression d’y être : gourmands, préparez-vous à un voyage gustatif, en plus du suspens.
Pour le langage légèrement soutenu qu’utilisent les personnages, et me fait penser au style de langage qu’on retrouve dans la littérature classique anglaise. Je suis (très) sensible au langage utilisé par les personnages dans un roman : au point que si le lange est grossier, cela peut me gâcher un roman, même si j’ai aimé l’intrigue !
Et, of course, j’ai littéralement succombé pour ce (super) chat détective qu’est Koko. Quelle originalité de glisser cette petite touche féline dans chaque roman !
♦ Je le conseille à ceux qui aiment les chats, la nature, les enquêtes policières toute en finesse, les descriptions de repas gourmet.
L’esprit de famille, de Janine Boissard
→ Tome 1 – Tome 2 – Tome 3 – Tome 4 – Tome 5 – Tome 6
♦ Avant de m’immerger dans l’univers de Janine Boissard, j’ai attendu. Longtemps. J’ai entendu parler de cette saga en lisant une interview de Christelle Dabos (l’auteure de La Passe-Miroir), qui mentionnait ce livre comme l’ayant particulièrement marqué, au point de baptiser les Esprits de famille (de ses romans) par ce titre.
Les aventures de la famille Moreau s’étendent en six volets. Lorsque j’ai eu fini le dernier volet de cette saga, je me suis sentie dans le même état qu’en ayant fini La Passe-Miroir, ou le septième tome d’Harry Potter : un sentiment de deuil profond, de douce et joyeuse mélancolie.
Ce premier volet est d’une beauté infinie à travers cette simplicité poétique puissante. On y découvre la vie d’une famille de six (deux parents et leurs quatre filles), dans une banlieue parisienne en 1980.
L’amour est là, la chaleur du foyer aussi : ils nous enserrent, nous transportent à travers le temps pour nous retrouver à une époque où les réseaux sociaux n’existent pas encore, où l’absence d’hyperstimulation informative laisse place au Présent, à une simplicité délicieuse et perdue.
Et, comme dans la vraie vie, on y retrouve aussi la maladie, la mort, les premiers chagrins d’amour, le courage, des femmes qui passent de l’enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte : des thématiques abordées avec légèreté et profondeur.
♦ Pourquoi je l’ai aimé : cette saga restera gravée à jamais dans mon cœur : elle m’a émue, m’a transportée, m’a enrichie, m’a adoucie. Elle a su enrichir ma vision et mon amour pour la vie, l’amour, la simplicité, la beauté de toutes choses la composant. La plume de l’auteure est une des plus belles que j’ai lue dans ma vie.
♦ Je le conseille à ceux qui sont sensibles aux beaux romans parlant des sujets de la vie avec poésie, puissance et bienveillance.
Sagas fantastiques + fantasy
Tobie Lolness, de Timothée de Fombelle
→ Jolie édition réunissant les deux tomes
♦ Mon amie Karen me l’a fait connaitre. Elle m’a eu offert une belle édition en 2008 ou 2009. Cette saga en deux tomes est restée sur mes étagères jusqu’en 2015 : une longue attente…
On y suit les aventures de Tobie Lolness et de son peuple. On est plongé dans un monde où ces petits êtres mesurant environ deux millimètres de haut, vivent dans nos arbres. Leur arbre est l’équivalent de notre monde : une planète immense avec ces mystères extraordinaires, ces richesses, ces dangers. L’œuvre est une belle et poétique métaphore visant à dénoncer la manière dont les Humains maltraitent notre belle planète. Sont abordés les thèmes de l’amour, de l’écologie, du bien et du mal (pouvant être confondus), de la richesse (la vraie, celle du coeur, et la fausse, celle monétaire).
♦ Pourquoi je l’ai aimé : c’est un des plus beaux livres que j’ai lu. Ce livre est une pépite de Vie, un trésor de poésie, un concentré de réflexions, une goutte d’essence d’introspection de Soi, d’expansion du monde
♦ Je le conseille à ceux qui sont sensibles à la beauté d’une histoire métaphorique sur le devenir de notre planète, de l’humanité. Ceux qui sont sensible à l’amour, à la poésie, à la puissance d’un roman d’une douceur infinie.
Lady Helen, d’Alison Goodman
→ Le 1e tome – Le 2e tome – Le 3e tome
♦ Londres, début des années 1800. On est plongé dans l’aristocratie londonienne pour y suivre Lady Helen, qui a perdu ses parents vers ses 8 ans, et a été recueillie avec son frère, Andrew, par son oncle et sa tante. Helen arrive à l’âge où les enfants devenant jeunes adultes dans l’aristocratie sont présentés à la Reine d’Angleterre, et peuvent ainsi commencer à être courtisés (pour les femmes) ou courtisés eux-mêmes (pour les hommes).
Un jeu de pouvoir et de séduction, d’amitié, d’échanges (dans le sens rang aristocratique) se met en place : beaucoup de faux semblants, de calculs.
Puis, un jour Lady Helen va découvrir qu’elle a des pouvoirs, et qu’elle est spéciale : la découverte d’un autre monde, invisible dans son monde visible, va se révéler peu à peu à elle.
Et, parallèlement à tout ceci, des rencontres (voulues et non voulues), et des rapprochements vont se faire avec deux hommes, très différents l’un de l’autre, se connaissant, et se détestant.
♦ Pourquoi je l’ai aimé : j’ai englouti ces trois tomes en un temps record, hypnotisée par l’intrigue, assoiffée de connaître ce qui se cachait derrière chaque rebondissement.
Le fait que l’intrigue se déroule en Angleterre (un pays que j’adore), que l’aristocratie impose une ambiance dont je suis particulièrement friande (protocole, respect, langage soutenu, tout en étant très accessible), la magie imbibante chaque page, le suspens qui nous tient en haleine, un soupçon de romance (sans être envahissant), et… la fin.
♦ À qui je le conseille : à ceux qui souhaitent voyager dans l’Angleterre aristocratique du 19e siècle pour entrapercevoir un monde caché et inconnu aux gens « normaux », pour y déjouer les plans du mal, pour essayer de sortir victorieuse l’amour et la vie.
Harry Potter, de J. K. Rowling
→ J’ai commencé la collection de l’édition illustrée
Je ne vous ferai pas l’affront d’essayer de résumer cette saga, connue de tous (même de ceux qui ne l’ont pas lue !).
Je me contenterai de partager comment j’ai découvert et vécu cette fabuleuse saga…
Après un amour fou pour la lecture durant mon enfance et ma pré-adolescence, j’ai délaissé les livres, écœurée par les classiques de la littérature française, qu’on nous imposait au programme scolaire.
Tout cela pour un affreux malentendu… Jusqu’alors, la lecture avait toujours été synonyme d’évasion, de rêveries, et de découvertes fantastiques : des lectures bien éloignées de l’ambiance de beaucoup de classiques de la littérature française. C’est très naïvement que j’ai cru que la littérature fantasy et fantastique était réservée aux enfants, et qu’en devenant adulte, on devait faire le deuil des livres de ce style, et adopter nos lectures aux livres qu’on nous soumettait à l’école. La lecture de certains classiques m’ont littéralement déprimée : j’ai donc préféré arrêter de lire par plaisir.
C’est l’univers de J.K. Rowling a réussi à briser ce (mauvais) sort, et a effacé (d’un coup de baguette magique – ou presque) mon dégoût de la lecture…
En terminale, j’ai pris l’option anglais renforcé : l’épreuve consistait à passer un examen oral où l’on présentait un des textes étudiés durant l’année. Un matin de décembre 2001, j’ai eu l’immense surprise de voir ma professeur d’anglais renforcé nous proposait l’étude d’un extrait du début du premier tome. C’est en étudiant le texte, que j’ai compris que les adultes, aussi, pouvaient continuer à dévorer des œuvres fantastiques… quelle révélation !
Ce jour-là, en rentrant du lycée, j’ai supplié ma mère de m’acheter les quatre premiers tomes (le cinquième devait sortir une année plus tard). Assez réticente au début (« Mélanie, ça fait plus de 4 ans que tu ne lis plus rien ! Tu ne veux pas commencer avec le premier… ? Et si tu l’aimes, on pourra prendre le deux ? »), elle a fini par céder (je sais me montrer très persuasive). J’ai dévoré les quatre premiers tomes (et me souviens d’avoir fini le quatrième volet à 5 heures du matin, incapable de le poser pour m’endormir).
J’ai fait la queue à minuit pour les sorties du cinquième, sixième et septième volet que j’ai lu… en anglais (à ce jour encore, ce sont les trois seuls livres que j’ai lu en anglais. Je comprends parfaitement l’anglais – je regarde toutes les séries et les films en VO sans sous-titres, mais lire me demande plus de concentration, j’ai donc la flemme).
Il m’était im-po-ssi-ble d’attendre la version traduite en français : en petite geekette que je suis, j’avais déniché un lexique pour le vocabulaire créé par Rowling traduisant dans les deux sens (anglais → français + français → anglais) sur le site La Gazette du Sorcier, un site de fans français. Je me l’étais imprimée, et m’en servais comme marque-pages pour ma lecture.
Mon enthousiasme débordant a réussi à contaminer mon père et ma soeur qui l’ont tous les deux lus jusqu’au 7e tome inclus.
Je serai éternellement reconnaissante à J.K. Rowling ne pas avoir brisé mon cœur en épargnant Harry. J’ai déjà suffisamment pleuré Dumbledore, Hedwige et Dobby pour pouvoir supporter la perte de ce personnage qui m’a accompagné plus de la moitié de ma vie).
♦ Pourquoi je l’ai aimé : pour tout… Du début à la fin ♥
✤ ✤ ✤
✩ En espérant que ces partages vous aident à découvrir de nouveaux univers ✩
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♡ Les livres qui ont changé ma vie ♡
♡ Mes livres favoris d’Ayurvéda ♡
♡ Les livres de cuisine qui m’ont tout appris ♡
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Merci pour cet article que j’ai adoré lire ! :) Je suis ravie que tu aies cité Tobie Lolness, j’ai lu ce livre il y a loooongtemps quand j’étais au collège et il m’a beaucoup marqué, comme la plupart des livres de Timothée de Fombelle d’ailleurs :) Connais-tu la saga en 2 tome « Vango », du même auteur ? Elle m’a énormément marqué aussi, j’ai rarement eu un coup de cœur pareil pour des personnages 💗.
Pour ma part les livres/sagas qui ont laissé une empreinte dans mon cœur sont: Harry Potter of course, Vango comme je le disais, la saga Eragon et tout particulièrement le tome 2 de Christopher Paolini, la rivière à l’envers de Jean-Claude Mourlevat (et la plupart de ses livres ), entre-autres… 📚😊
Belle journée ☀️❄️
@ Luciole : Bonjour,
Je ne connais aucun des titres que tu as mentionné :)
De Timothée de Fombelle, j’ai également lu « Perle » que je n’ai pas du tout (mais alors pas du tout) aimé.
Je me note Vango – et les autres titres que tu as partagé – précieusement dans un coin. Merci.
Merci Mely, pour ce partage.
J’ai toujours adoré lire. Portant il a fallu attendre le cm1 quand j’ai découvert la bibliothèque rose, ensuite je ne me suis jamais arrêtée. Du plus loin que je me souvienne, lire me permettait et me permet encore de m évader de me transporter dans d autres mondes. Avec le collège j’ai moyennement aimé les auteurs imposés mais grâce à la bibliothèque je me suis pris de passion pour la SF (en particulier Asimov et Herbert), l heroic fantasy. Je pouvais en lire 4 par semaine avec la torche sous mes couvertures pour qu’on ne me voit pas… Pour Harry Potter, je n arrivais pas à m arrêter de lire au point que j emmenais les livres au toilettes… Aujourd’hui c’est ma fille de 8 ans qui les lis. Pour « le chat qui » c’est à plus de 30 ans via une collègue qui adorait les chats comme moi que j’ai commencé la saga en récupérant au fur et à mesure les 30 livres. Je les ai tous relu une 2emes fois pendant ma grossesse, je ne m’en lasserai jamais. Et enfin Tobie lolness, une découverte j’ai adoré ce monde.
Ton article me donne donc envie de découvrir tes autres coup de cœur 😄🙏
Merci Mely ! Tu m’as donné envie de reprendre ma tablette pour y ajouter une autre saga !
J’ai tous les livres de la série « Le chat qui.. » et j’ai vraiment adoré, je me suis délectée de chaque récit. Du coup j’ai envie de les relire !
J’ai toujours un sentiment de tendresse nostalgique quand je pense à L’Esprit de Famille, cette saga, j’ai commencé à la lire à l’adolescence et ensuite au fil des années je l’ai relu plusieurs fois avec un mélange de sentiments, le réconfort de retrouver un univers connu, la mélancolie des moments passés, en tout cas je suis ravie de voir que je ne suis pas la seule à avoir aimé ces sagas !
Bonjour Mély,
Merci pour ces belles propositions. Comme je m’impose une interdiction quasi totale de romans, je l’ai lu par fidélité à ton blog… mais tu as su me donner envie de retrouver de la place dans ma vie pour les romans.
Merci pour tes partages si doux.
Merci à toi Mély !
Pour cet article qui me donne, à vrai dire, envie de découvrir toutes les sagas que je n’ai pas ouvertes (quel talent pour partager tes amours..!).
Et qui, aussi, me rappelle à quel point la lecture de romans est une merveilleuse ressource et un moyen d’échappée dont on revient en effet souvent enrichi!
J’avais entamé L’esprit de famille grâce à toi déjà quand tu en avais parlé sur Patreon et elle m’avait beaucoup plu ♥︎
Merci Mély pour ce partage. Grâce à toi j’ai dévoré la Passe-Miroir, cette saga m’a complètement retournée. Je n’avais pas autant adoré une saga depuis les Harry Potter, que je dévorais aussi en quelques jours et nuits à chaque sortie :-)
Je suis bien tentée par toutes les autres dont tu parles !
Belle soirée à toi,
Solenn
Merci pour ces partages. Comme beaucoup, j’ai été marquée et fascinée par Harry Potter. Je suis depuis toujours une grande (grande) lectrice, et certaines saga ont aussi rythmé mon enfance/adolescence. L’une de mes préférées encore à ce jour : La petite maison dans la prairie. Rien à voir avec la série télévisée qui ne fait que s’en inspirer que de loin, j’ai vraiment adoré suivre la vie quotidienne de Laura dans cette période fascinante qu’est l’Amérique de la conquête de l’Ouest. Dans un autre registre, toujours en Amérique, j’ai beaucoup aimé « Les quatres filles du docteur March ». Dans un style là encore totalement différent, les livres de Cynthia Voigt, en particulier la série des Enfants Tillerman : une série qui, sans y toucher, distille des valeurs d’émancipation et de féminisme…
Tu m’as donné envie de lire Esprit de famille. Je pense que cela va être 1 de mes prochaines lectures. Merci pour ce partage ! :)
Bonjour Mély,
Je me permets de te conseiller la saga Outlander si tu ne la connais pas déjà car comme toi j’aime me plonger dans les sagas et celle-ci contient une pointe de fantastique.
Merci pour tes très chouettes articles que je consulte régulièrement !
Gladys
@ Gladys : Bonjour,
Après l’engouement que j’ai vu sur les réseaux sociaux, blogs, BookTube, et après avoir été harcelée par une amie pour lire ce livre… j’ai fini par lire le premier tome.
La lecture a été longue et fastidieuse (je n’ai pas du tout aimé mais me suis forcée à aller jusqu’au bout, en espérant qu’à un moment, je « prenne »).
La fin m’a traumatisée (je m’en souviens encore que trop bien).
Les personnages m’ont paru fades (voir détestables pour certains).
Bref… ça fait parti des lectures que tout le monde semble avoir aimé, mais qui n’ont pas su conquérir mon coeur 😌
La Passe-Miroir est une saga qui me donne envie depuis un long moment maintenant. Il va vraiment falloir que je prenne le temps de le faire un jour ! :)