- Le 19 Déc 2018
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Vivre et profiter pendant Noël
Durant la période précédant Noël, chaque année, je reçois des messages me demandant conseils pour bien vivre cette période de fêtes de fin d’année. Cette année n’a pas fait exception : parmi vos réponses récoltées en Insta-Stories (après vous avoir demandé quelles thématiques vous souhaiteriez que je crée pour Noël), cette demande a été la plus demandée avec la conception d’une boisson «Naturo» de fête (que je vous ai conçue ici).
… Voici donc mes conseils pour vivre des fêtes de fin d’année sous les signes d’harmonie, de gourmandises, et de joie.
Au fil des dernières années, j’ai pu constater qu’il existe parfois un fossé entre nos Noël vécus lorsque nous étions enfants, et ceux que peuvent vivre beaucoup d’adultes. Ce constat vient de ma propre expérience et vie (les décès de ma mère et de ma sœur laissent forcément une trace), ainsi qu’aux retours et questions que je reçois en tant que thérapeute (à travers mes consultations), et les messages reçus en tant que créatrice de contenus.
Si la magie est toujours belle et bien là, dans nos cœurs et nos esprits, ainsi que dans notre volonté de donner et de retrouver les siens… des charges émotionnelles s’insinuent parfois, pouvant entraver nos réjouissances. On n’en parle visiblement pas (ou trop peu), pourtant, nombreux semblent être traversés par eux : peur de pas faire assez, de mal faire ou de décevoir (par rapport à notre famille, notre belle-famille), peur de trop manger, d’être malade, appréhension de ne pas pouvoir se reposer suffisamment, de sortir de ce marathon festif encore plus épuisé.
J’utilise moi-même tous les conseils ci-dessous : je les «vis» depuis plusieurs années, certains instinctivement, d’autres après réflexions et cheminement personnel. J’espère de tout cœur qu’ils pourront vous aider à embellir vos fêtes, à retrouver davantage vos paillettes d’âme d’enfant ✩
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Conscience, respect, communication
«Comment allier fête et gourmandise avec équilibre ?», «Comment profiter des fêtes sans mettre à mal son système digestif ?» sont deux des questions qui me sont le plus souvent revenu dans vos InstaStories, et chaque année en cette même période. Je comprends que beaucoup d’entre vous puissent se la poser, mon lectorat étant forcément sensible à l’alimentation saine, ainsi qu’au bien-être physique, certains étant concernés par le SII !
♦ La première clé est de comprendre qu’un repas festif est, par définition, différent de nos habitudes.
Selon notre famille / nos proches, les repas de fêtes seront plus ou moins différents de nos habitudes, en termes qualitatifs et quantitatifs. Si ce fait est inévitable, il est aussi neutre en tant que tel : il n’est ni «bien», ni «mal». Le fait de le faire rimer avec des dénominatifs à connotation peu joyeuse (culpabilité, excès, irrespect de nos valeurs) est un fait qui nous appartient, et que nous faisons (inconsciemment, la majorité du temps).
Le fait de comprendre et d’accepter pleinement que les repas festifs à venir seront différents de nos habitudes est donc la première et la plus importante des clés pour vivre joyeusement les fêtes de fin d’année.
Faisons rimer ces différences avec joie, découvertes, échanges, réjouissances.
♦ Que les réjouissances festives durent le temps d’un repas, ou s’étale sur plusieurs jours, profitons en conscience de ce qui sera présent sur nos tables : savourons ce qui se présente, choisissons de manger ce qui nous fait envie (sans forcément goûter à tout), en écoutant notre appétit, notre satiété.
La capacité à être flexible face à des variations alimentaires épisodiques s’inscrit dans une dynamique émotionnelle saine. Et, au contraire, une incapacité, une résistance et toutes les émotions rattachées (peur, culpabilité, etc.) indiquent qu’un travail émotionnel, qu’une prise de conscience nous serait bénéfique.
♦ S’ouvrir à tous les autres éléments festifs : agrandir notre champ sensoriel en défocalisant sur celui de l’assiette, et en englobant tout le reste : le fait de profiter de nos proches, notre famille, prendre des nouvelles de ceux que l’on n’a pas vus depuis un moment, aider l’hôte (ou demander de l’aide si nous sommes l’hôte), s’émerveiller devant la décoration, se réjouir des musiques de Noël (ou proposer une liste musicale qui nous permettra de nous détendre – une pierre deux coups).
♦ Le fait de passer des jours en famille peut être une source de joie, de stress, et parfois des deux à la fois.
Se souvenir qu’aucune famille n’est «parfaite» : chaque famille a eu un passé, a eu (ou a) des histoires plus ou moins compliquées, des disputes, des différents, des petits nœuds (plus ou moins résolus). On ne choisit pas notre famille, mais on peut choisir de faire du mieux possible le temps de quelques heures, de quelques jours.
♦ Si l’on est introverti(e) (comme moi) : passer plusieurs jours dans un endroit où se sont regroupées de nombreuses personnes peut être épuisant émotionnellement.
Mon Papa est un grand extraverti (ma Maman était une INFJ, introvertie, et ma sœur une extravertie) : j’ai dû échanger à de nombreuses reprises avec mon père et ma sœur (bien avant de savoir ce qu’était l’introversion) pour qu’ils comprennent que j’avais un besoin vital de me retrouver seule, d’être au calme, d’avoir du temps à part, sans que l’on me dérange. La communication est la clé. Leur répéter que je les aimais de tout mon cœur, que j’aimais être avec eux, que je chéris les moments avec mon Papa. Mais, aussi, que j’avais besoin, chaque jour des fêtes, de passer du temps en retrait. C’est quelque chose que mon Papa (et ma belle-mère maintenant) respectent totalement ♥
Sortir dans le village, faire une balade dans la nature, arpenter les rues des grandes villes… juste, sortir.
Et si c’est difficile de sortir (froid, organisation, lieu où l’on se retrouve) : essayer de se glisser dans une pièce où l’on pourra être seul(e). Pour lire, rêver, étudier, dormir, binge-watcher Netflix, etc. Si aucune pièce n’est disponible (la grande famille occupe chaque recoin de chaque pièce de la demeure : se créer une petite bulle avec un casque, une playliste et un peu de musique est une autre solution.
♦ Si certaines des personnes présentes ont un régime alimentaire particulier, qu’il soit par conviction ou adopté pour des raisons de santé (végéta*ien, sans gluten, sans lactose, paléo, pauvre en FODMAPs) : soyons tolérants, bienveillants, évitons les jugements, les remarques ou questions pouvant être blessantes.
Si l’on a soi-même des habitudes alimentaires particulières :
– si l’on est invité, parlons-en auparavant à notre hôte afin d’éviter de la/le mettre au pied du mur le jour J.
On a parfois de l’appréhension à s’affirmer, s’exprimer (tant de charge émotionnelle dans les traditions festives de Noël !), mais bien souvent, si nous n’osons pas, on finit par le regretter, être trop stressé(e), être frustré(e), ce qui a forcément une répercussion sur notre état émotionnel tout au long du repas, voir des fêtes.
Ne confondons pas irrespect et affirmation de la personne que l’on est (surtout si c’est par nécessité physiologique liée à des intolérances) : nous pouvons très bien exprimer avec bienveillance que l’on (doit) mange(r) légèrement différemment des autres, sans forcément s’étendre en excuses, en bafouillages. Nous n’avons d’ailleurs pas à nous justifier de manière détaillée (en déballant notre carnet de santé) : si notre hôte est curieuse, elle nous posera les questions, et vous pourrez échanger sur le sujet. Nous sommes en droit que les Autres respectent nos choix/besoins alimentaires. En revanche, nous devons, de notre côté, veiller à ce que cela n’impacte pas négativement les plans d’Autrui (ne pas interdire des choses que l’on ne peut / veut manger à Autrui) : proposons de ramener quelque chose en ramenant. Nous pourrons ainsi faire découvrir ce type de cuisine à d’autres (en veillant à ne pas lancer des remarques jugeantes durant le processus… !).
– si nous sommes l’hôte : échangeons avec les invités pour savoir s’ils seraient d’accord de célébrer les fêtes en fonction de votre manière de cuisiner. Si certains se montrent réticents, essayons de trouver un compromis. Communiquons. Proposons qu’ils ramènent quelque chose qui leur correspondrait davantage. Chaque invité pourra ainsi goûter à cette diversité gustative.
Avant, pendant et après…
… les fêtes
Conseils jour J
♦ Pour vivre en harmonie émotionnelle avec nos proches durant le temps des fêtes, une relecture des Quatre Accords Toltèques (dont j’avais parlé ici) me parait plus que judicieuse ! Si nous n’avons pas encore cet ouvrage : je pense que le temps des fêtes est LE moment de l’année le plus opportun pour découvrir ce petit ouvrage de moins de 100 pages.
♦ Certains s’affament avant le repas de Noël (voir sautent un repas) : je ne suis pas partisane de cette «astuce», et pense qu’elle peut engendrer ensuite des excès (par une trop grande faim), une tendance à vouloir «compenser» / se récompenser de l’absence du repas précédent : il résulte souvent une coupure de nos ressentis physiologiques (faim, satiété) avant et pendant le réveillon, et une focalisation déséquilibrée sur ce que l’on devrait manger / a le droit de consommer.
♦ Nous ne sommes pas obligé(e) de manger de tout !
Personnellement, aussi loin que je puisse m’en souvenir, je n’ai jamais mangé entrée / plat / fromage / dessert. Principalement, parce que les produits animaux ont toujours été très présents sur mes tables de réveillons (et que j’ai toujours été très difficile à ce sujet, depuis ma toute petite enfance, comme je l’ai déjà expliqué). À cette raison purement gustative s’est ajoutée ces dernières années une plus grande écoute de mon appétit, de ma digestion : je sais que je ne peux pas manger de tout (sous peine de frôler une indigestion).
Par exemple, je ne mange jamais de fromages ou de chocolats le jour de Noël : les premiers sont quelque chose que je peux consommer en dehors des fêtes, tandis que je pourrai davantage savourer les seconds les jours suivants Noël.
Écoutons notre appétit, nos réelles envies. Pensons gourmet et qualité (plutôt que gourmand et quantité).
♦ Si l’on se sent obligé(e) de manger de tout (ou d’une chose en particulier) : réfléchissons à la provenance de ce sentiment, cette impression : est-ce par politesse (vis à vis de l’hôte qui s’est donné du mal) ? Parce que ce mets est coûteux ? A-t-on peur du regard des autres (et du sentiment d’exclusion) ?
À travers ces prises de conscience de l’origine de nos pensées, apprenons à nous en détacher.
♦ Dans la continuité du point précédent : apprenons à dire «non» poliment.
En rappelant à l’hôte (qui n’a peut-être pas lu les Quatre Accords Toltèques) que ce n’est pas lié au repas / plat, ni à elle-même, mais qu’on a peut-être peu faim, ou que l’on préfère se réserver pour la suite.
On peut en profiter pour complimenter l’hôte (décoration, efforts fournis pour le repas, son organisation), et même lui proposer de l’aide en cuisine.
♦ Si un repas contient une multitude de mets (sorte de buffet) : soyons conscience de nos choix, réfléchissons à pourquoi nous choisissons de ceci plutôt que de cela : cela répond-il à notre envie ? Ou répond-on à une injonction (plus ou moins inconsciemment) ?
♦ La possibilité de se resservir peut se présenter : si l’on a faim et que le plat est réellement exceptionnel (de par sa nature et/ou son goût), alors profitons-en ! Tandis que si notre faim n’est pas au rendez-vous et/ou que l’on sait que l’on pourra consommer ce même met demain ou après-demain, peut-être pouvons-nous passer notre tour.
Conseils les jours qui suivent
♦ Écoutons notre corps, notre faim : le lendemain matin, il est fort courant de ne pas avoir faim. Peut-être qu’un fruit et/ou une tisane sera suffiront.
Personnellement, autant pour des raisons liées à mon caractère que pour des raisons physiologiques, j’apprécie que mes journées soient rythmées avec trois repas (qu’importe les heures). Cependant, le lendemain du réveillon, mes ressentis corporels (faim, satiété) sont mes guides, et remplacent momentanément ce besoin de rythme qui a moins de raisons d’être étant donné que ce sont les «vacances», que je n’ai pas d’impératifs.
♦ Dans la continuité du précédent point : écoutons nos envies. Après des excès, il est courant d’avoir envie de choses «légères» comme des bouillons, des soupes, des salades automnales. Certains pourront même avoir envie de jus de légumes (bien que ce ne soit pas la saison, certaines constitutions pourront bénéficier de la consommation de jus de légumes). Si nous n’avons pas de déséquilibres physiologiques / psychologiques, notre corps est un guide sur lequel on peut se reposer, avoir confiance, il suffit de l’écouter.
♦ Des repas dissociés, voir des monodiètes pourront soulager notre système digestif, et aider notre organisme à retrouver un équilibre, à gérer les potentiels excès festifs.
Petits rappels :
– Une monodiète consiste à consommer un seul aliment durant un ou plusieurs repas. Cela peut-être une monodiètes de riz, de pomme de terre, de pêche, de raisin : l’aliment est choisi en fonction de notre constitution, de la saison, et de l’état de notre système digestif.
En cette saison, après les fêtes, une monodiète de pommes (cru, compote, four), de riz ou de courge peut être bénéfique. Pour ceux ayant le SII, la plus adaptée sera la monodiète de riz basmati (blanc ou 1/2 complet), en ajoutant un peu de gingembre frais (avec la cuisson du riz), et du ghee, du cumin, une pincée de sel après la cuisson.
– Un repas dissocié est un repas où l’on associera une source de protéines ou de féculents à des légumes (de préférence cuits en cette saison, ou un mélange cru / cuit). En ajoutant des épices, des aromates, un filet d’huile végétale riche en oméga 3, on peut transformer le plus simple repas en un délice gustatif, léger et digestif, parfait pour la période après les fêtes !.
♦ Buvons des tisanes digestives entre les repas (1 à 2 heures après, pour éviter de «noyer» nos enzymes digestives).
Ma préférée déjà prête est celle de Yogi Tea «Digestion», la Tisanière Tatouée en fait également une, et il y a bien sûr, ma boisson de Noël que l’on peut transformer en boisson chaude, post Noël.
Personnellement, je réalise mon mélange moi-même en fonction de ma constitution (Kapha relativement bien équilibré), et de la saison (besoin de chaud) : desmodium ou chardon marie, gingembre frais, guimauve, pissenlit.
♦ Notre culture a mis les grandes vacances au cœur de l’été, mais d’un point de vue physiologique, c’est contraire à notre rythme, nos besoins : la saison froide, et tout particulièrement l’hiver dans lequel nous nous trouvons, est la saison par excellence où l’on devrait se reposer, ralentir.
Au lieu de nous précipiter à la salle de gym, essayons de penser «Slow»… ce qui n’empêche pas d’être en mouvements !
Une longue marche en forêt, dans nos campagnes, en montagne, des séances de Yin Yoga, de stretching sont autant d’activités permettant de bouger en respectant le besoin de ralentir de nos corps.
Plus que quelques petits jours, et nous serons immergés dans la magie de Noël ✩
Enfant, cette période était ma favorite de l’année. Aujourd’hui, tant de choses ont changé depuis mon enfance…
Maintenant, si je vois Noël avec un regard d’adulte, plus consciente et sensible à sa palette d’éléments gris (consumérisme, denrées comestibles gâchées, coulisses de l’industrie agroalimentaire, personnes esseulées tristes à son approche, etc.), je fais cependant le choix de continuer à privilégier les notes douces et pastel qui en ressortent, et de prendre soin de chacune d’elle.
Gardons à l’esprit que nous attirons à nous ce que nous pensons, ressentons, faisons : nos plans physiques et émotionnels s’ajustent constamment à ces choix, que nous les réalisions consciemment ou non.
Alors, je fais le choix. D’aimer, de sourire, d’essayer d’être généreuse (et on peut le faire sans penser au porte-monnaie). De profiter des miens, de moi. De me rappeler aux souvenirs joyeux de ceux et celles disparus (le jour de Noël, je porte toujours l’alliance de ma Maman, pour qu’elle soit un peu avec moi).
J’en profite pour piocher dans ma petite liste de choses que j’ai très envie de faire, et dont le temps me manque parfois.
Je ne pourrai pas tout faire, et c’est parfait ainsi. Peut-être même qu’arriver le jour de Noël, la seule chose dont j’aurai envie est de lever le pied. Probable que je lève les yeux, regarde les nuages passer et les arbres faire danser leurs feuilles. Lire, encore et encore, pour explorer dans d’autres mondes, rencontrer ces jolies histoires, me rapprocher de ces personnages fictifs. Écouter les oiseaux chanter la Vie à l’aube tardive. Faire un tour dans la capitale, voir mes amis.
On peut être conscient des coulisses d’un monde (gris et pastel, toujours les deux).
Et faire le choix d’entretenir cette fibre magique qui nous relie à notre âme d’enfant.
Pour mieux modeler notre réalité.
Savourer cette période où l’on se réunit, que cela soit en famille, entre amis, en amoureux… ou chez soi, seul(e).
Qu’importe le lien qui nous unit, seule l’unité compte.
L’unité, la présence, l’Amour de chacun.
L’Amour de Soi, aussi.
✤ ✤ ✤
✩ Que vos fêtes de fin d’année soient remplies d’Amour, de sourires, de chaleur, de gourmandises ✩
✩ Prenez soin de vous ✩
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Merci Mély pour cet article réconfortant, qui invite à des fêtes douces, personnelles & bienveillantes.
Je te souhaite une fin d’année pleine de joie & de tendresse !
Merci pour ces précieux conseils.
Chaque année nous passons les fêtes ( du moins l’une d’elles) dans ma belle famille:
Au moins 20 personnes, un repas qui s’étend jusqu’en milieu d’après midi, des jeux, des discussions, un dîner qui suit aussi copieux.
Ayant un appétit modéré, un intestins à surveiller, besoin de calme par moment ( car pas habituée, étant fille unique), ces conseils l’aideront bien.
Ma belle famille est gentille, mais ne se rend pas compte que certaines attitudes, certaines phrases peuvent blesser, que des fois les repas sont trop.
Je ne veux pas les froisser, mais passer les fêtes dans la bienveillance et en profiter aussi.
Merci encore, je garde tes mots dans un coin.
Cécile
Merci Mély pour ces conseils ? Je les trouve à la fois déculpabilisants et responsabilisants, notamment celui de s’ouvrir à tous les éléments festifs. Mes Noëls se sont toujours bien passés mais j’ai trop souvent tendance à avoir le nez dans mon assiette plutôt que sur ce / ceux qui m’entourent.
L’anecdote sur l’alliance de ta mère m’a beaucoup touchée ? Et j’adore voir Lotus sur le bord de la banquette, intrigué par les lumières ?
Je te souhaite de passer de belles fêtes ❄️?