- Le 11 Mar 2013
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Les secrets d’une synergie parfaite pour terrines végétales
Sur notre jolie Planète Bleue, il y a quelque chose de formidable.
Au sein de la Terre se trouve quelque chose de beau, de grand, de puissant.
Ayant eu la chance de voyager, je l’ai vue.
A plusieurs reprises.
Dans les plus beaux déserts du monde.
Cette chose se trouve aussi dans de paisibles, belles & grandes montagnes Suisse.
Au creux d’une vallée, dans un minuscule ruisseau discret.
Dans la chaleur étouffante & humide des contrées de l’Inde.
Sur les rivages des côtes maritimes, de la belle côte de Granit Rose.
Au plus profond des océans.
Dans le bleu azur du ciel.
Dans la magie brûlante des volcans nous livrant les entrailles de notre Planète.
Partout.
Autour de nous.
Se trouve la richesse de Dame Nature, la magie de la Vie.
Dans notre quête effrénée du bonheur, on oublie.
De voir la beauté de la Vie dans les yeux des Autres.
Dans la vie quotidienne tumultueuse, on oublie. Trop souvent.
De sourire. A l’Autre. Pour aucune raison. Juste comme ça.
La magie est partout.
Parfois.
Les peurs au creux de notre Coeur nous conditionnent.
A se refermer. A rester fermé.
On se coupe alors d’une magie sans nom.
D’une magie au-delà de ce que notre imagination peut concevoir.
Vraiment.
La semaine dernière, j’ai explosé.
Une peur.
Cachée, en mon Coeur.
Nichée, en mon Âme.
Eclaboussure de paillettes.
On me dit Fée, mais je suis aussi Humaine.
Humaine, comme vous, comme tous.
Fée, aussi, magique, certainement.
Comme vous, comme tous.
Je me suis sentie libre.
Je me suis sentie plus « moi ».
J’ai souri.
Car, j’ai vu, senti, ressenti, encore plus, la beauté, la puissance de toute cette magie m’entourant.
Encore plus qu’avant.
Je me sens plus vivante. Plus vibrante.
Je me suis sentie, encore plus connectée à la Vie.
Au fond de moi, depuis toute petite, j’ai toujours senti, ressenti cette magie. De la Vie, de l’énergie.
On est tous humains, parfaits avec nos imperfections.
Et, lorsque l’on apprend, avec le temps, en grandissant, à se débarrasser de petits cailloux dans nos souliers, on se sent plus légers. Plus nous. Plus beaux.
Ce pas de géant (ou de fée) fut immense pour moi.
Immense.
Un pas qui fut possible grâce à de nombreuses personnes m’ayant accompagnée, soutenue, encouragée, portée, ramassée, parfois aussi, alors que j’étais à Terre.
Des personnes qui ont toujours cru en moi. Même lorsque je ne croyais plus en moi, moi-même.
Au sein de cette danse, une personne, tout particulièrement.
M’a permise.
De m’ouvrir.
Encore plus.
A la magie. La magie Bleue. De notre Planète Bleue.
Ces personnes, ces amis, m’ont rendue plus Moi.
M’ont aidée. A me retrouver, à me créer, Moi.
Sans eux, je n’aurai pu le faire.
Sans eux, j’aurai été moins Moi.
C’est en interagissant avec les Autres, que les impossibles deviennent possibles.
Pourquoi ?
Car, on est tous magiques.
On est tous grands, beaux, merveilleux.
Ne l’oubliez jamais.
Tous, on forme une danse.
Celle de la Vie.
Tous ensemble, on forme un monde.
On le choisit, le façonne, le construit.
Chacun de nous est parfait avec ses imperfections.
Ensemble, la magie est plus forte, plus belle, plus grande.
Echo.
Echo avec la magie de la Vie.
Echo avec la magie de notre Planète Bleue.
Echo avec la magie de notre assiette.
Synergie.
Parfaite.
Synergie.
Magique.
… De la cuisine, de notre alimentation, de ce que l’on mange.
Dame Nature est merveilleusement généreuse.
Dame Nature est grande.
Ses dons sont nombreux, illimités.
Sa richesse, sa beauté, ne se trouve pas dans un aliment.
Mais dans la magie des aliments qui s’entremêlent, s’unissent.
Ensemble, un tableau se forme.
Ensemble, ils forment un tableau.
Un tableau riche en goûts, en couleurs, en possibilités, aussi.
C’est en étant ensemble, réunis, que toutes ces merveilles, tous ces trésors, se potentialisent, les uns les autres.
Ils s’unissent, se portent.
Et forment une synergie qu’absolument aucune molécule de synthèse seule, isolée, ne pourra faire.
Jamais.
La Beauté de la Vie, la richesse du monde se trouvent à notre portée.
La magie que nous offre notre jolie Planète Bleue est merveilleuse.
La synergie que l’on peut en créer est sans limites.
Ouvrons-nous à elle.
Accueillons cette magie Bleue.
Au menu du jour, une terrine végétale.
En songeant à « terrine » (végétale ou non, d’ailleurs), on visualise souvent un mets qui peut certes s’avérer délicieux, mais souvent lourd à digérer.
Les terrines végétales sont souvent composées de trop (au choix – plusieurs pouvant se combiner) : d’oléagineux (noix, notamment), ou de légumineuses, ou encore de céréales (ou de pain).
Aujourd’hui, au menu, une terrine végétale.
Une terrine végétale composée d’une synergie de plusieurs groupes d’aliments.
Chacun de ces groupes d’aliments, combinés ensemble, va créer une synergie nutritionnelle forte, puissante, et… digeste.
Synergie parfaite pour une merveilleuse terrine végétale
♦ Un des secrets d’une terrine végétale digeste & légère se trouve dans un ingrédient tout simple, et familier des habitués de la cuisine saine : l’agar-agar, cette petite algue japonaise avec des propriétés absolument épatantes (je vous ai déjà dit que Dame Nature était extraordinaire ?). Cléa en a fait un article récapitulatif très bien construit ici (c’est un peu la reine de l’agar-agar, c’est grâce à son livre que cette petite poudre a installé son nid en France).
L’agar-agar, on s’en sert pour remplacer la gélatine.
♦ En utilisant une céréale, on va apporter à notre corps une source d’énergie, tel un carburant que notre corps va utiliser pour un nombre d’usages assez impressionnants.
Leur rôle dans la terrine est celui d’assembler, d’agglomérer, de créer une matière qui aide à se tenir (en plus de l’agar-agar).
En les choisissant complètes (ou demi-complètes), on assure à notre corps une qualité & une quantité optimale des nombreux nutriments que contient la céréale que l’on va choisir.
Je n’ai rien contre le gluten (je vous avais dit : je suis une grande amoureuse du pain), mais en se tournant vers une céréale sans gluten, on permet à notre organisme de varier les nutriments apportés par notre assiette.
Souvenez-vous : la diversité est une clé magique pour créer une synergie intéressante.
Le choix est immense :
– le riz est une valeur sûre. Tout le monde le connait, et parmi ses nombreuses formes, on en trouvera forcément une que l’on aimera (basmati, thaï, rond, long, rouge, noir…).
– le sarrasin est la céréale qui a le plus grand pouvoir liant (astuce idéale pour confectionner des galettes végétales, pâtés…)
De plus, elle contient les 8 Acides Aminés Essentiels (AAE) à elle seule.
– le quinoa contient aussi les 8 AAE. Sans gluten, on en trouve du blanc, mais aussi du rouge, et du noir. Selon la MTC, le quinoa est rattaché à l’énergie Bois (Printemps), et sa version rouge & noir tendent vers l’énergie Feu (été).
– il existe d’autres possibilités, avec des céréales & pseudo-céréales moins connues telles que l’amarante (qui nous apporte aussi nos 8 AAE), le millet, ou le fonio. Chacune des 3 apporteront un petit côté croquant / fondant intéressant en terme de texture.
Si vous ne les connaissez pas et/ou que vous n’avez pas envie de vous aventurer à les cuisiner : choisissez simplement parmi le riz, le sarrasin ou le quinoa, ça sera parfait.
Une fois la (ou les) céréale(s) choisies, on choisira leur forme :
– entière : certaines sont plus longues à préparer et à cuire que d’autres. L’amarante nécessite environ 30 à 40 minutes de cuisson, et certains riz peuvent nécessiter jusqu’à 45 minutes de cuisson.
– de flocons : le quinoa, et le riz ne nécessitent aucun temps de cuisson. Et les autres (millet, sarrasin…) peuvent être prêtes en un temps (beaucoup) plus court que leur version entière. Une petite astuce bien sympathique.
– sous forme de « crème » : il s’agit là d’une farine précuite (à ne pas confondre avec les crèmes végétales liquides en brique) que l’on trouve au rayon farine.
Ce sont des farines qui ont été précuites à la vapeur, ce qui permet de les incorporer dans une préparation, sans les cuire longtemps. On peut les décliner en béchamel, en crème dessert express, en fond de tarte (pour remplacer une crème pâtissière).
Riz, quinoa, sarrasin, ou millet, il en existe plusieurs.
– sous forme de semoule ou de boulghour, elle donne à la terrine une texture à la fois moelleuse, tout en apportant un petit côté croquant. Maintenant, on trouve de la semoule de riz, de millet, de sarrasin, et même des mix tout prêt (maïs / riz)…
♦ Au tour des légumineuses.
Les légumineuses sont une source de fibres & de nombreux nutriments.
En MTC, elles sont rattachées à l’énergie des reins d’un point de vue :
– physiologique (ils filtrent notre sang, le débarrassent des toxines, ainsi que des hormones qui doivent être désactivées, et ils jouent aussi un rôle dans notre pression artérielle. Souvenez-vous de l’histoire du sel)
– d’un point de vue énergétique (ils sont reliés à nos ancêtres, notre famille, nos racines)
En MTC, les légumineuses qui ont le plus fort pouvoir Eau (reins) sont les azukis, et les haricots noirs.
Bien sûr, elles sont aussi source de protéines végétales.
C’est tout de même formidable, quand on prend le temps d’y penser.
Elles sont tout ça à la fois.
Protéines, fibres, nutriments (minéraux, oligo-élements), et précieux alliés en MTC.
C’est rudement plus que ce que nous apportent les protéines animales (qui nous apportent d’autres choses un peu moins glamour comme des acides gras saturés).
Il est important de souligner, tout de même, que les protéines végétales contenues dans les légumineuses (sauf celles du soja jaune) sont des protéines incomplètes (ici la petite histoire de la maison colorée pour la définition des protéines complètes & incomplètes).
Oui, je sais. En prenant du quinoa, ou du sarrasin (qui contiennent les 8 AAE), on pourrait se dire que l’apport en protéines est suffisant.
Et bien en fait, non.
Selon la règle du minimum de Rubner, si un repas est carencé d’un des 8 AAE, les autres AAE seront absorbés au taux le plus bas (nivellement vers le bas). Et, il en est de même si le repas est composé des 8AAE (comme ce peut être le cas avec le sarrasin ou le quinoa seul), mais dont un des 8 AAE est présent en trop faible quantité.
Un exemple.
Notre drapeau français est composé de bleu, de blanc, et de rouge.
Si on a 10 mètres de tissu bleu, 8 mètres de tissu blanc & 6 mètres de tissu rouge, on ne pourra fabriquer que 6 mètres de drapeau. Vrai ?
Il en va de même pour nos protéines, et nos 8 AAE : on parle de « facteur limitant ».
S’il en manque un seul AAE (ou en quantité trop faible), il va être considéré comme facteur limitant pour l’assimilation des autres AAE.
Le ou les facteurs limitants d’une protéine constituent la valeur biologique de cette protéine.
Les végétariens (et les végétaliens encore plus) doivent veiller à cet équilibre d’apport protéique (il existe de plusieurs moyens pour veiller à cet équilibre – si vous avez le moindre doute, veillez à faire le point avec un professionnel de santé : naturopathe spécialisé, diététicien, nutritionniste…).
Dans notre terrine, il faut trouver le juste équilibre, car trop de légumineuses peuvent apporter une sensation de texture trop sèche, trop compacte, et peu digeste au final.
Comme pour les céréales, on peut faire varier leurs formes :
– entières : on les utilisera cuites (on peut le faire soi-même, ou en prendre des déjà prêtes en boite)
– de flocons : les pois cassés, haricots azukis, pois chiche, et même soja existent maintenant en flocons.
Cuites en 10 minutes, elles révolutionnent beaucoup de préparations (terrines, cakes salés, appareil à tarte de légumes, mais aussi pour épaissir des soupes maison)
– sous forme de farine (lentilles, pois chiche, soja toasté) : sous cette forme, on devra les cuire quelques minutes, afin de désactiver leurs facteurs anti-nutritionnels (des petites substances qui s’opposent à la digestion des nutriments en neutralisant l’effet des enzymes. La cuisson suffit à les détruire).
♦ Une touche d’oléagineux (noix).
Là aussi, on veillera à ne pas trop charger notre terrine de ce groupe d’ingrédients, au risque de rendre la terrine trop grasse et/ou peu digeste (un met très gras peut-être digeste… ce qui a un effet retord, car notre corps peut avoir du mal à assimiler & transformer quelque chose sans qu’on s’en aperçoive obligatoirement).
Absolument tous les oléagineux ont leurs atouts, et leurs intérêts nutritionnels propres à chacun. Là aussi, la variété est un concept clé.
Les amandes ont un fort pouvoir alcalinisant, sont riches en calcium, les graines de sésame ont ces deux mêmes atouts, et ont aussi la capacité d‘harmoniser les protéines végétales.
Les noix de Grenoble sont très riches en oméga 3 (on veillera donc à ne pas les faire cuire).
Noix de cajou, de Brésil (ou d’Amazonie), courge, tournesol… Vraiment, chacune a des propriétés nutritionnelles propres à chacune, un goût qui se marie plus ou moins bien avec certains ingrédients.
Amusons-nous à les changer, goûter, et interchanger dans nos recettes.
Là aussi, on peut choisir plusieurs formes :
– sous leur forme entière, pour un côté croquant, craquant.
– sous forme de poudre (mixées), elles se fonderont dans la terrine en lui apportant une texture fondante, moelleuse, et donneront une note gustative plus ou moins prononcée.
– en purée (ou beurre), elles feront des merveilles de douceur. Pour les purées d’oléagineux que l’on ne trouve pas dans le commerce (courge, tournesol, noix de Grenoble), on peut les faire soi-même (je me délecte toujours de mon beurre de noix…).
Certaines ont un goût plus prononcé que d’autres : ça sera le cas de la purée de sésame. Celles-ci seront donc à utiliser avec parcimonie.
– en lait. On trouve facilement le lait d’amandes en magasin bio, mais pensez à tous les laits. Ils sont tous réalisables.
Pour réaliser un lait maison express, on mélange simplement (à l’aide d’un mixeur ou un shaker) 1 cas de purée de notre choix (cajou, sésame…) avec 150 à 300 ml d’eau (selon la consistance souhaitée).
♦ Les champignons sont un des légumes dont la teneur en protéines est particulièrement élevée.
Ca, c’est le côté nutritionnel (intéressant, certes, surtout pour les végéta*iens).
Au-delà de cet aspect, les champignons ont toujours suscité une certaine fascination chez moi.
Quand on y pense… Rares sont les denrées du monde végétal à pousser, s’étendre, grandir, s’épanouir… dans le noir, la pénombre. Si on essaie d’en semer en ligne, ils ne pousseront jamais en ligne, à l’inverse des légumes.
Non. Ils pousseront comme bon leur semble, éparpillés, en même, en suivant des cercles presque parfaits, tel un clin d’oeil joueur que nous lancerait Dame Nature.
Un peu comme s’ils appartenaient à un autre monde. Celui des fées. Par exemple.
Selon de nombreuses légendes & histoires, les champignons pousseraient en cercle, exactement là où les fées auraient dansé, durant certaines de leurs fêtes.
On peut aussi ajouter quelques châtaignes dans notre terrine.
D’un point de vue nutritionnel, elles sont extrêmement intéressantes : alcalinisantes, très riches en minéraux & oligo-éléments, elles contiennent aussi de la lysine (l’Acide Aminé Essentiel qui manque aux céréales).
Ainsi, lorsqu’on les associe à une céréale (risotto, par exemple), ou sous forme de farine (dans des crèpes, galettes ou du pain), on obtient une protéine complète.
Incorporer des champignons, ou des châtaignes (entières, brisures, farine ou lait), reste bien sûr facultatif, mais sont des petites astuces intéressantes pour enrichir notre terrine végétale de petits trésors nutritionnels.
♦ L’ingrédient final est simple, et essentiel à la fois : un lait végétal ou un bouillon de légumes permettra d’apporter goût, et légèreté à notre délicieuse terrine.
Grâce à l’agar-agar, la terrine restera ferme.
En laits végétaux, on pourra se tourner vers du lait :
– de soja assez neutre, apportant une texture intéressante
– d’avoine apportera une touche de douceur, de rondeur. Avec les courges, les carottes, les patates douces, il fera très bien l’affaire
– d’épeautre se marie globalement bien avec tous les légumes.
– de quinoa qui donnera un petit goût particulier, intéressant. Il se marie bien avec les courgettes, et les légumes verts d’été.
– d’amandes blanches pour un goût neutre, plus doux, et une texture ronde
– de noix de cajou pour adoucir des légumes ou légumineuses au fort caractère
– de sésames (blanches) avec parcimonie, leur goût étant bien fort
– de pistache qui donnera une jolie couleur verte, et se mariera particulièrement bien avec les asperges & tous les légumes du printemps et/ou verts
A ce liquide, on peut ajouter des épices et/ou des aromates, avec une pincée de sel (rose, gris, noir, ou bleu).
On obtient donc une terrine sans gluten, sans oeuf, sans lactose, tout en étant une source de protéines complètes, d’acides gras essentiels, et une large variété de nutriments.
Avec ceci…
En accompagnement, on peut réaliser :
– une petite salade simple ou composée, en été, elle fait merveille.
– durant les saisons froides, un velouté ou une crème de légumes nous apporte une touche de chaleur (vous le savez, les soirs d’hiver, un diner sans purée, mousseline ou crème de légumes est in-con-ce-va-ble chez moi).
– une sauce. Dans le genre digeste, plein de saveurs, on peut opter pour les principes des légumaises, variables à l’infini.
C’est d’ailleurs elle que j’ai choisi pour accompagner ma terrine du jour : une légumaise au brocolis (cuit à la vapeur), avec un filet d’huile de noix, du persil frais, et une touche d’ail des ours en poudre.
Retrouvez le principe des légumaises, c’est ici (clic).
On obtient un tout.
Une synergie.
D’une richesse exceptionnelle.
Richesse nutritionnelle, énergétique.
Le tout créé est supérieur à la somme des ingrédients présents.
Tellement plus.
Se potentialisant les uns les autres, se portant les uns les autres, la synergie créée est belle, douce, puissante.
Reflet de la magie de notre planète Bleue.
Reflet du pouvoir qui nous habite. En nous.
Et qui se multiplie, se transforme, s’améliore.
Au contact des Autres.
Ingrédients pour ma terrine : (pour un moule de 34 cm sur 10 cm)
- 100 gr de flocons de sarrasin
- 100 gr de farine de pois chiche
- 70 gr de flocons de pois cassés
- 30 gr de brisures de châtaignes (facultatif)
- 100 gr de champignons lavés & émincés
- 100 gr d’oléagineux (sésame, tournesol & amandes)
- 750 ml d’eau
- 20 cl de crème d’amandes liquide (ou autre crème végétale liquide)
- 9 gr d’agar-agar
Préparation :
- Dans une casserole, versez les flocons de sarrasin & de pois cassés avec la farine de pois chiche, et les brisures de châtaignes.
- Ajoutez l’eau, allumez le feu (moyen), et laissez cuire 10 minutes, en remuant régulièrement.
- Pendant ce temps : faites revenir rapidement les champignons.
- Versez les flocons (pois cassés & sarrasin) avec la farine de pois chiche dans un moule à cake (ou terrine).
- Dans une petite casserole, faites chauffer l’agar-agar avec 50 ml d’eau.
- Lorsque l’eau commence à bouillir, baissez légèrement le feu, et laissez mijoter 20 secondes (l’agar-agar doit atteindre 80°C afin que son pouvoir gélifiant soit activé).
- Versez ce mélange dans la terrine.
- Ajoutez les champignons, les oléagineux, et la crème végétale liquide.
- Mélangez le tout, afin d’obtenir un mélange homogène.
- Placez au frigo, et laissez prendre au minimum 6 heures.
Autres exemples, autres possibilités
– Pour une terrine aux tons noirs : lentilles, purée sésame noir, champignons, bouillon, et du riz thaï pour atténuer le caractère fort des ingrédients prédominants.
– Pour une terrine aux tons orangé et rouges : riz rouge, lentilles corail, amandes blanches, jus de 2 oranges, lait de soja
– Pour une terrine aux tons blancs : flocons de sarrasin, haricots blancs, purée de cajou, lait de riz, mélange de pains d’épices
– Pour une terrine verte : flocons de quinoa, flocons de pois cassés ou petits pois (frais), purée d’amandes blanches, lait de soja
Je vais cesser de répondre à chacun de vos délicieux commentaires.
Chacun de vos commentaires est lu, et savouré comme une petite gourmandise.
Je me délecte toujours de vos attentions, de vos petits mots, chacun d’entre eux. Vraiment.
Je reconnais ceux qui viennent régulièrement poster, prendre le temps de m’apporter une pensée.
Je suis sensible à votre présence.
Et, il en sera toujours ainsi.
De beaux projets, de jolies histoires, et de merveilleuses choses attirent toute mon attention, et me demandent beaucoup d’énergie.
C’est beaucoup de joie, beaucoup de bonheur, et aussi beaucoup de temps.
L’énergie Pastel reste, et restera, toujours présente, bien sûr.
Elle restera présente, et tend même à s’étendre, chaque jour un peu plus.
Et, d’ailleurs, en partie grâce à vous. Qui m’aidez à l’étendre, toujours, un peu plus, au-delà des frontières, au recoin de notre jolie Terre.
Au-delà du silence, au-delà des mots, au-delà de tout, nous sommes & resterons tous unis.
With a lot of Love.
Très interssant ce que tu écris la ma Belle.
J’ai fait une tartinade-pâté-caviar, appelons ça comme bon nous semble ( je dirai bien tartinade tout de meme et je vais te dire pourquoi très vite ^^ ), pour le diner ( elle était délicieuse et c’est Monsieur qui le dit ) et je me suis empressée de la photographier car je suis tombée en amour pour elle ! Rare que mes préparations me fassent un tel effet ! Je posterai la recette tout bientôt car je me dois de partager aussi cette découverte ^^ Pour en revenir à tes explications, je suis bien d’accord avec toi sur le fait que bien des pâtés ou terrines sont trop souvent indigestes. Les proportions que tu reprends à juste titre montrent que les ingrédients doivent être correctement repartis pour un ensemble leger et homogène. A ma plus grande surprise ( car je cuisine souvent la main levée et sans recette guide ! ), je suis parvenue à un résultat proche de l’osmose parfaite entre mes légumineuses-cereales-legumes-oleagineux-algues et epices !! Merci pour ta belle démonstration encore une fois et je ne manquerai pas de citer ton article lors de la parution de ma recette, sois en certaine (d’autant que je pense bien tester ta belle recette tellement elle me séduit ).
Des bises gourmandes Mély. A très vite.
PS : tu as omis dénoter les dimensions de ton moule ^^
Moi qui suis toujours à la recherche de terrines et aurtres à mettre dans ma lunch-box, je suis comblée.
Ça donne très envie de se mettre aux terrines végétales :)) Simple et alléchante !
Bonsoir, je viens de voir la photo, et la recette qui me tente beaucoup pour cette belle terrine végétale, mais j’aurais voulu savoir si il est possible pour les 750ml d’eau, de ne mettre que le lait d’amandes pour la même quantité évidemment !
Bonsoir Mėly, Merci de partager ainsi votre expérience et votre savoir faire, vos magnifiques photos, et vos conseils de fée. Que de beauté vous ajoutez à ma vie. En dehors de tout cela, merci aussi pour votre toujours poétique introduction de recette. Et même les fées peuvent être bien occupées. Bonne chance pour vos nouveaux projets, et c est toujours avec plaisir que je suivrai les autres posts. Excellente semaine.
Vive les terrines simples et goûteuses , saines et équilibrées pour l’organisme :)
Mmmmhh c’est bien appétissant tout ça…
Ici on fait un végépâté cru que j’adore, mais je prendrais bien une part du tien…:)
Et aussi, je trouve « terrine végétale » bien plus joli que « végépâté » :)
Sinon, je comprends bien que tu ne répondes plus à chacun personnellement… je me demandais aussi où tu trouvais tous ces précieux instants, en plus de réaliser de magnifiques billets (et le reste !).
Bisous affectueux.
Merci pour toutes informations nutritionnelles, elles sont toujours intéressantes. Je retiens ta recette de base de terrine « parfaite ».
Bisous Mély. Que tes beaux projets aboutissent comme tu le souhaites.
Superbe terrine, de belles et bonnes associations que je testerai!
Je découvre votre blog et en même temps les terrines végétales ! Je ne savais même pas que ça existait. Et ça m’intrigue… Je vais peut-être, un jour, tester cela. En tout cas je la garde dans un coin de ma tête.
L’agar-agar est vraiment une poudre magique ! J’aime la mélanger avec de l’arrow-root dans ma recette de base de terrine comme celle que j’ai faite aux lentilles corail, lait de coco et curry vegan.
Je suis sure que j’en apprécierais la texture sous la dent…
Merci pour ce très bel article !
J’adore les terrines, j’adore les légumineuses (je ne connaissais pas leur valeur pour les reins, ni leur symbolique), je suis un peu flemmarde de l’agar-agar, mais ça donne envie de s’y mettre. :)
J’ai une petite collection de flocons chez moi, qui plus est, je ne sais pas toujours quoi en faire (à part quelques cuillères dans les soupes), donc ça tombe très bien. :)
Quelle générosité dans ce billet ! Voilà ce que j’appelle de l’écriture nutritive… Je me réserve cette belle lecture pour un moment privilégié, merci en tout cas !
Ta terrine me semble nutritionnellement parfaite, et très goûteuse. J’aime beaucoup associer champignons et sarrasin, même si là je me languis du soleil printanier plutôt que de saveurs d’automne… Des bises féériques et une jolie soirée !
Ben oui, merci tout simplement.
Merci pour cette belle recette (ou plutôt, ces belles recettes), Mély. Je crois que tu viens en effet de proposer une belle synergie : c’est la terrine la plus complète que j’aie jamais vue !
Un peu tristou de voir que tu ne répondras plus aux commentaires… mais je te souhaite plein, plein d’énergie et de courage pour tes projets à venir. Bats des ailes, douce Mély, et j’espère que tout ce que tu entreprendras réussira ✿
@ Christophe : Bonjour, je t’invite à (re)lire l’article en entier, car je cite les différents liquides que l’on peut utiliser (en remplacement de l’eau) : tu verras, il y en a plusieurs, et on pourra tous trouver notre bonheur, et des associations gustatives qui se marieront avec les légumineuses, céréales, et oléagineux choisis :-)
@ tous : merci pour vos mots, votre compréhension, et votre soutien (certains d’entre vous savent formuler des mots qui me réchauffent vraiment mon coeur).
Je suis à la fois étonnée, et touchée par vos encouragements d’aller en ce sens.
@ Ophélie (Antigone) : Oh, ce n’est pas comme si j’abandonnais mon joli Chaudron Pastel… Non, loin (très !) loin de là, jolie Ophélie :-)
Je resterai là, tout près de vous, via cette bulle Pastel ♡
L’énergie qui nous lie tous, qui nous anime tous, reste, et restera toujours ici ♡
D’ailleurs… Certains des beaux projets en train de pousser toucheront beaucoup (beaucoup) d’entre vous… et se répandra comme une trainée de poudre magique sur vos jolis coeurs ☆
Ohlala je suis sur le popotin avec cet article si complet, si émouvant aussi…,et tellement riches en infos passionnantes… Il m’a beaucoup touchée … et m’a permit de faire une délicieuse pause, une sorte d’arrêt sur image. J’ai ainsi pris le temps de savourer lentement tout ton joli post, bouchée après bouchée… En parlant de bouchée, saches que j’accompagnerai bien ma petite mousseline de panais de ce soir, avec ta petite terrine, pour me régaler avec du 100% Mély ;) Ben oui, il faut bien compenser le manque comme on peut…♥ Tu nous gâtes énormément Mély, merci … Je t’embrasse fort
Un excellent re-booster
Voilà qui est bien tentant
Je te souhaite une agréable soirée
Valérie
Ah, super billet, merci pour ce pas à pas détaillé ! Plus qu’une recette, toutes ces informations détaillées proposant autant d’alternatives sont une vraie mine d’or. C’est bien, ça nous pousse à expérimenter et à créer chacun sa formule idéale, je m’en vais essayer ça très vite !
Lecture enfin achevée ! Un billet sacrément nourrissant qui m’a permis d’éclairer et préciser de nombreux points. J’aime bcp ton expression de « léguminaise » ^^.
Et pour rajouter à ta fascination du champignon, il faut savoir qu’ils sont aussi des ingrédients particulièrement riches en glutamate naturel, à l’origine du fameux goût umami détecté au XXe siècle par des chercheurs japonais.
Les terrines végétales ne m’attirent pas plus que ça…jusqu’à aujourd’hui.
Tu as su piquer ma curiosité et je pense bientôt tester une recette du même type !
C’est toujours un plaisir de lire tes articles, qui sont magnifiques et vraiment intéressants.
Merci pour toute ces bonnes choses quand je viens sur ton blog cela me fait beaucoup de bien, je lis de jolies choses.
je viens dès que je le peux merci de nous faire partager ces belles réalisations
à bientôt
Christiane
Merci de nous faire partager ton amour, de vie, de vitalité, de nature, de beauté, de générosité de notre magnifique petite terre.