Crumble de courgettes, ou la puissance de l’énergie Eau…

Il y a 3 semaines, j’ai passé quelques jours en Suisse, invitée chez mon meilleur ami qui vient d’y emménager.
C’est la première fois que je me rendais dans ce pays.
J’ai beaucoup voyagé dans ma vie, surtout durant la première moitié de ma vie.
Que ce soit pour y vivre, ou pour y passer quelques jours pendant les vacances, les endroits où je me suis rendue étaient bien différents les uns des autres.
Mais, je n’ai jamais ressenti un tel élan d’affection pour un pays.
Jamais.

Le matin, je me levais avant mon meilleur ami, et je m’installais devant sa baie vitrée.
Je regardais le jour se lever.
Au loin, j’apercevais le lac Léman, et les montagnes, majestueusement belles.
Elles semblaient s’élever.
Sentiment de grandeur, d’immensité, de pureté…

Le spectacle qui s’offrait à moi m’apportait un sentiment d’apaisement intense, couplé à une sensation de ressourcement.

Sentiment de puissance, aussi.
De protection.
D’immunité.
Le tout mêlé à un sentiment de connexion.
Aux autres, au monde.
Ces sentiments m’ont accompagnée partout où nous nous sommes rendus en Suisse.
Ils étaient tellement intenses…
Tellement beaux.

Ce pays, ces montagnes, ces terres, la Nature suisse m’apportaient des sentiments que je n’avais pas ressentis simultanément, et à une telle intensité, depuis de nombreuses années.

Je n’avais pas envie de quitter ce pays, cette énergie si douce, si puissante, si… enivrante, quelque part.

Pourtant, en rentrant à la maison, je ne me suis sentie ni mélancolique, ni triste.
J’ai ressenti un apaisement.
Comme si cette jolie, puissante & douce force suisse m’avait enveloppée, et continuait d’être à mes côtés.

Je n’ai pas cherché à comprendre d’où venaient ces sentiments, ni pourquoi ils étaient si beaux, et si intenses.
L’Homme ne peut pas TOUT expliquer, tout contrôler.
Parfois, on ressent des choses. Des sensations nous parviennent. Positives, négatives, plus ou moins intenses.
On ne les explique pas, mais on les sent, là, en nous.
J’ai appris à accueillir ses sensations, sans chercher à contrôler, à expliquer, à décortiquer le pourquoi du comment.
Des fois, on ne comprend qu’après.
Plusieurs jours, semaines, mois, années, parfois.
La signification, le sens, ce que la Vie semblait nous dire.
Parfois, on ne comprend pas.
Et, l’on doit accepter cet inconnu.
Lâcher-prise.
En Suisse, j’ai donc accueilli toute la beauté, toute la richesse que ce pays m’apportait.
J’ai ouvert mon Coeur en grand, et j’ai pris, accueillie, encore, et encore.

Une fois revenue dans notre jolie capitale française, j’ai recommencé à vaguer à mes occupations, je suis revenue à mon quotidien.
Puis, environ deux semaines après mon retour, j’ai compris.
Pourquoi.

Je suis même surprise de ne pas avoir compris le sens de tout ceci avant.
Tout cela est lié aux cinq éléments.
Il ne s’agit pas là du film de Luc Besson avec Bruce Willis, et Milla Jovovich, mais aux cinq éléments en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC).

La MTC et la théologie occidentale offrent deux visions de l’univers différentes, mais plutôt que d’en rejeter une, il est intéressant, et même enrichissant, de les unir dans une vision d’ensemble.
Dans notre société occidentale, la vision du monde selon la MTC peut paraître étrange, bizarre, car « Tout cela n’a pas été prouvé », et certaines personnes ont besoin de preuves pour croire en des choses, en des principes.
Je ne fais pas partie de ceux-là (mais suis totalement respectueuse de ce mode de pensée, qu’ont plusieurs de mes amis, d’ailleurs).

« C’est une erreur de croire nécessairement faux ce qu’on ne comprend pas. »
(Gandhi)

La MTC n’est pas un ensemble de recettes, mais une vision du monde, de la vie, et de l’Homme. Elle étudie le fonctionnement du cosmos, et les lois de l’univers auxquelles sont soumis tous les êtres vivants, ainsi que leurs relations avec l’univers.
Selon la MTC, l’univers est composé de cinq éléments : le bois, le feu, la terre, le métal et l’eau.

Certains experts préfèrent utiliser les termes de «cinq phases» ou «cinq forces», pour éviter toute confusion, car les cinq éléments sont des symboles, et ne se limitent pas à leur aspect purement physique.

Les cinq éléments interagissent les uns avec les autres.
Ils se génèrent (ou « nourrissent ») les uns les autres, et se « dominent » (un petit paragraphe expliquant très bien ces interactions ou encore ici).
Pour donner un exemple : dans la nature, l’arbre (bois) pousse si on lui donne de l’eau. Lorsque l’arbre brûle (feu), ses cendres reviennent à la terre.
Ainsi, certains éléments «nourrissent» d’autres éléments, et sont eux-mêmes dominés par d’autres (l’eau éteint le feu).
Si je vous ai perdus en route, souvenez-vous du jeu «renard, serpent, poule» que l’on jouait petits (ou repris par vos enfants maintenant) ?
Le renard attrape la poule, qui peut manger le serpent, qui peut mordre le renard…
C’est le même principe, ici :-)

Tout dans l’univers est composé des cinq éléments.
Et, réciproquement : les cinq éléments sont présents partout dans l’univers.
Nous sommes nous-mêmes composés des cinq éléments : la MTC ayant rattaché chacun de nos organes à l’un des cinq éléments.
Les cinq éléments sont constamment en mouvements : leur harmonie (les uns avec les autres, mais aussi avec le reste du monde) existe dans un état d’équilibre instable qu’il faut sans cesse réajuster. L’alimentation, les exercices physiques, la méditation et notre hygiène de vie sont des moyens naturels pour aider à garder un équilibre, et réajuster l’équilibre lorsque celui-ci est perdu (cette vision se rapproche beaucoup de la naturopathie).

La MTC a classifié les aliments selon leurs saveurs, couleurs, consistances…
Ainsi, toute saveur (goût), aliment, céréale, épice, légume, fruit, aromate, source de protéine (végétale ou animale), type de cuisson… est rattaché aux cinq éléments.

Dans ma cuisine, on retrouve souvent l’énergie Terre : saveur sucrée, vanillée, texture moelleuse, douceur, lactée, les cuissons sont douces, mijotées…
Je glisse de la vanille partout, et l’associe même, parfois, à des notes salées (dans mes crèmes Peter Pan que j’affectionne, et mange souvent en tartinade, le soir, ou dans ma mousseline pailletée de panais).
Les mousselines de légumes sont très présentes dans ma cuisine.
Le soir venu, j’aime les réaliser. Leur côté « doux », onctueux, apaise mon Coeur, mon Âme, si sensibles, ayant besoin de tellement de douceur…
Je me suis rendu compte de la prédominance de l’énergie Terre dans ma cuisine, lors de mon premier cours sur la relation des cinq éléments en cuisine.
J’ai été surprise de voir à quel point j’étais rattachée à l’énergie Terre.
Le manque (ou l’excès) d’un des éléments peut amener à un déséquilibre, et induire une attirance (ou une répulsion) vers une saveur, une texture, ou un type de cuisson. J’ai pu rattacher certains événements de ma vie à des « périodes gustatives » que j’ai eues, et durant lesquelles, je devais être en manque d’un des cinq éléments (ou en excès d’un autre).
Lorsque l’on est à l’écoute de son corps, on s’aperçoit que l’on a des périodes où l’on peut être plus ou moins attirés par certains aliments / saveurs.
Bien souvent, les raisons sont purement physiques (par exemple, notre corps sera attiré vers les aliments contenant des nutriments dont il a besoin, et dont nous manquons).
Et, d’autres fois, les raisons sont autres…
La vision des cinq éléments ?
Peut-être.
Pourquoi pas ?

La courgette est un de mes légumes préférés d’été.
Une de mes recettes préférées est ma crème angélique de courgettes que je décline en fonction de mon humeur, et de mes envies du jour (je peux remplacer la purée d’amandes blanches par de l’huile de coco, ou de la purée de noix de cajou, et les flocons de riz par des flocons de quinoa, ou de pois chiches, et le basilic par de la poudre d’ortie, ou même un mélange d’épices garam masala : n’oublions jamais qu’une recette peut se décliner à volonté selon notre humeur du moment :-)).

Les montagnes, les lacs… sont très forts en énergie Eau.
Voilà, peut-être, une partie de l’explication des ressentis que j’ai perçus en Suisse.
L’énergie Eau… J’ai souvent été en manque de cette énergie..
Hasard ou non, j’ai eu envie de confectionner un plat avec des courgettes ayant plus d’énergie « Eau ».
C’est ainsi qu’est né mon crumble de courgettes.

Une cuisson au four, une saveur plus salée, et une source de protéine avec les pois chiches (les azukis sont plus forts en énergie « Eau ») : toutes ces caractéristiques étant rattachées à l’énergie Eau en cuisine.
Ma pâte à crumble ne contient évidement pas de beurre, ni margarine.
Il est absolument croquant à souhait (yummy), et ses saveurs ont des notes rustiques, bien loin du côté « doudou » si caractéristique de ma cuisine « énergie Terre » habituelle.
Dedans, nous retrouvons :
– de la farine de pois chiche (que l’on trouve facilement en magasin bio, au rayon farine)
– des graines de tournesol (réduites en poudre à l’aide d’un petit mixeur). On peut les remplacer par de la poudre d’amandes, pour une question de praticité (si vous n’avez pas de petit mixeur et/ou que vous trouvez plus simple d’utiliser quelque chose de tout prêt)
– de l’huile de coco (dont je ne peux plus me passer). Les personnes qui ne sont pas végéta*iennes privilégieront une autre huile végétale adaptée à la cuisson (olive, sésame…).

Si vous souhaitez augmenter la digestibilité de ce crumble (et que vous avez du temps), vous pouvez mettre à tremper les graines de tournesol (4 heures), ainsi que les pois chiches (12 à 24 heures, en changeant l’eau une ou deux fois), puis les faire sécher au déshydrateur (4 à 6 heures suffisent) ou au four à la température la plus basse.
Une fois ces 2 étapes terminées, réduisez à l’état de poudre les pois chiches & les tournesol.
Vous pouvez en faire en grande quantité pour les conserver dans des bocaux en verre.
Cette petite astuce intéressera ceux qui ont un système digestif sensible, car ces 2 étapes permettent de supprimer les facteurs antinutritionnels (qui s’opposent à la digestion des nutriments en neutralisant l’effet des enzymes).
Ces facteurs comprennent :
– des inhibiteurs de trypsine (une protéase pancréatique) que la germination, la cuisson ou la fermentation peut détruire.
– des saponines (ayant des propriétés hémolytiques, c’est à dire qui détruiront les globules rouges) qui sont détruites uniquement par la cuisson.
– des hémagglutinines (qui diminue la capacité des globules rouges à distribuer l’oxygène dans tout le corps) qui sont détruites uniquement par la cuisson.

Après cette liste qui peut paraitre effrayante, n’oubliez jamais une chose.
Jamais.
Pour bien digérer, un système digestif en bonne santé, ainsi que la qualité des aliments sont importants, mais pas suffisants.
Il manque une chose.
Très importante.
Primordiale.
Le plaisir de manger, savourer.
N’oubliez jamais la gourmandise.
Jamais :-)
On digère aussi bien avec notre corps, qu’avec notre Coeur

Ingrédients :

  • 2 courgettes moyennes
  • 20 gr de farine de pois chiche
  • 30 gr de graines de tournesol moulues (ou de poudre d’amandes)
  • 15 gr d’huile de coco (ou d’huile d’olive, si vous n’êtes pas végéta*iens)

Préparation :

  1. Lavez vos courgettes.
  2. Découpez vos courgettes en 4 dans le sens de la longueur, puis par tronçons : vous obtenez ainsi des dés de courgettes.
  3. Dans une grande poêle, faites revenir les dés de courgette, à feu doux & à couvert, pendant environ 10 minutes.
  4. Pendant que les courgettes cuisent : préparez la pâte de crumble en mélangeant la farine de pois chiche, les graines de tournesol moulues (ou la poudre d’amandes), avec l’huile de coco.
  5. Mélangez à la main jusqu’à ce que le pâte soit homogène.
  6. Une fois les courgettes prêtes : disposez vos dés de courgettes dans un plat allant au four, puis saupoudrez la pâte à crumble par dessus, comme si vous l’émettiez du bout des doigts.
  7. Faites cuire dans un four préchauffé à 170°C pendant 30 à 40 minutes.
  8. Régalez-vous.

J’ai essayé les deux façons de préparer le crumble (en version normale, et en version germée, et déshydratée).
Les deux sont (très) bonnes.
En version germée et déshydratée, la pâte à crumble est plus croustillante, ses saveurs plus prononcées.
Lorsque le crumble est au four, un parfum absolument délicieux se dégage du four… Un mélange de coco, de pois chiche, de légumes… Indescriptible.

Les courgettes fondantes, et gorgées d’eau, contrastent énormément avec le grillé, croustillant, et rustique crumble.
Depuis que j’ai réalisé cette recette, je l’ai fait plusieurs fois, et plusieurs de mes amis l’ont goûté.
Tous l’ont adoré, omnivores (et difficiles) inclus.

La magie de l’Amour que j’y ai glissé dedans ?…

✤ ✤ ✤

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43 commentaires

  1. Elodie

    Bonjour Mély,

    Je m’intéresse de plus en plus à la MTC. J’aime comprendre ces interactions permettant d’approcher l’équilibre tout en sachant lâcher prise le moment venu, mais je sens qu’il me manque du contenu.
    Aurais-tu quelques lectures à me proposer ? Je sais que le sujet est vaste, j’aimerais dans un premier temps pouvoir reconnaitre ce que tu décris si bien concenant le manque ou l’excès d’un élément, savoir si on est plus Eau, plus Feu… sur quelles observations on se base…

    Merci pour tes éclairs étoilés, j’apprends déjà énormemment.

    mercredi 15, avril 2015 à 10h53
  2. Mély

    @ Elodie : Bonjour ♪

    Il existe plusieurs livres sur l’alimentation en MTC en français (ils sont plus nombreux en anglais), mais aucun ne m’a réellement satisfaite, leur trouvant certaines lacunes ou leurs explications étant expliquées de manière peu accessible pour un lectorat n’ayant pas fait d’études en lien avec ce sujet (MTC).
    Parmi tous ceux que j’ai feuilleté et/ou lu, j’ai une préférence pour l’un d’eux : même avec des omissions, et des détails trop techniques, et d’autres peu pertinents, c’est celui que je trouve le plus utile pour une approche.
    Je l’ai glissé, dans ma page « Coin Lecture » (catégorie « études de l’alimentation »).
    En anglais, ce livre est exceptionnel même s’il est assez complexe ♡
    Au-delà des lecteurs, il faut garder à l’esprit quelque chose d’important : un même déséquilibre sur une loge (élément / organe), peut être aborder de différentes manières par un thérapeute spécialisé (praticien shiatsu ou acupuncteur), selon la cause de ce déséquilibre (rapport des liens entre les 5 éléments).
    J’espère que ces quelques mots & conseils t’apporteront matière à réfléchir & découvrir… ?

    A bientôt pour un week-end magique ✩

    vendredi 17, avril 2015 à 21h06
  3. Elodie

    Merci Mély,

    Je vais donc commencer avec celui-là.
    (Je vois que j’ai été découverte…)

    Je sais que chacun est différent et qu’il y a au moins autant d’approches que d’individus pour un même déséquilibre.
    Pourrais-tu cependant me donner les grandes caractéristiques d’un profil en manque ou en excès d’eau par exemple, pusiqu’on en parle ici ?

    A bientôt…

    lundi 27, avril 2015 à 10h43
  4. Mély

    @ Elodie : Bonjour ♪

    Oh… Si tu parles anglais, et que tu acquiers cet ouvrage, il te comblera bien plus que moi sur ce sujet… Il y a plusieurs passages expliquant le subtil équilibre (déséquilibre), et tout ce que l’on peut faire en cas de déséquilibre, en fonction des potentielles causes croisées ou uniques.
    On pourra aussi en discuter de vive voix dans ce petit coin de nature qui nous tend les bras.

    A bientôt Elodie ❀

    mercredi 29, avril 2015 à 11h54
  5. Elodie

    Bonjour Mély,

    L’anglais n’est en effet pas un soucis, mais du coup j’ai un doute sur le livre dont tu parles… Je pensais à « La diététique du Tao » mais la langue d’origine est en français… Parlais-tu en fait de « SuperFoods » ?

    En discuter, avec un grand plaisir ;-)
    A tout bientôt.

    mercredi 29, avril 2015 à 17h24
  6. Mély

    @ Elodie : Rebonjour ❀
    Dans mon commentaire précédent (celui du 17 avril), je parle & te donne le lien d’un livre très complet en anglais : une bible en la matière ✩

    mercredi 29, avril 2015 à 18h19
  7. Elodie

    Rebonjour Mély,

    Oh pardon… mais il était bien caché quand même :-)
    Je me suis habituée à tes petits points tillés !
    Une toute bonne journée ♪

    jeudi 30, avril 2015 à 10h46
  8. Beatrice

    Essayé et approuvé! Quelle belle surprise que la douceur de l’huile de coco! Et pourtant qu’elle évidence! Je me régale à essayer vos recettes Mély et j’avoue que certaines entrent dans mes incontournables!
    Merci

    mardi 14, juillet 2015 à 20h32
  9. Agnès

    Bonjour Mély,
    J’ai découvert ton superbe blog tout récemment, et j’ai plaisir à y revenir pour te lire.
    J’aimerais te demander pour cette recette… les graines de tournesol jouent-elles un rôle particulier, ou penses-tu que je puisse m’en passer ? Etant intolérante aux amandes, je ne peux pas les remplacer par la poudre d’amande.
    Et sinon question bête, mais je n’ai pas l’habitude de travailler l’huile de coco.. Lorsque tu la mélanges à la farine, c’est à l’état liquide ou solide ?
    Très belle journée à toi.

    samedi 18, juin 2016 à 12h02
    1. Mély

      @ Agnès : Bonjour *
      Merci pour ton petit mot Agnès… et la douceur que tu y as glissée en introduction <3
      Les graines de tournesol donnent ici :
      1/ de la matière (un peu comme la farine)
      2/ apportent de la matière grasse, et permet donc de mettre un peu moins d’huile de coco
      => tu peux remplacer les graines de tournesol par des graines de courge, ou des graines de sésame, ou encore des noix du Brésil, et même des noisettes : c’est une question de goût !
      3/ Lorsque je mélange l’huile de coco à une farine, je la mélange toujours à son état liquide (même pour mes autres recettes… sauf effet spécial recherché !).
      Belle journée ♡

      lundi 4, juillet 2016 à 9h05
  10. Agnès

    Merci beaucoup Mély d’avoir pris un peu de ton temps pour venir me répondre. Figure-toi que j’ai essayé la recette peu de temps après mon message, avec la mauvaise idée de mettre un peu de farine (de sarrasin si je me souviens bien), à la place des graines… Echec total, c’était sec, enfin raté quoi ;-)
    Il faudra que je persévère, en suivant tes bons conseils. Encore merci !
    (ps : j’ai perdu -oui oui, moi aussi je me demande comment c ‘est possible, j’ai du changer d’adresses mails récemment, peut-être ai-je fait une mauvaise manip de débutant ?? cela-dit il n’est pas dans la poubelle- bref j’ai perdu ton long message reçu à l’occasion de mon inscription à ta newsletter, est-il possible de me le renvoyer ?)

    jeudi 14, juillet 2016 à 18h58
  11. Marionette

    Bonjour Mély,
    J’ai lu cet article hier, au hasard de recherches sur l’eau (il me reste une grande part du chaudron à explorer!!)…et j’y repense beaucoup…
    Il me fait envisager d’un autre point de vue ce que je ressens lorsque je suis ici, dans mon pays du Nord…totalement entourée d’eau…Ce que je ressentais lorsque je vivais à Montréal, où j’avais déjà identifié que le fleuve tenait une grande part mais sans trop savoir pourquoi…
    Ce sentiment d’être à ma place….
    « Bizarrement » ou pas d’ailleurs, mon anniversaire est 4 jours après le tien (je ne sais pas si celà a une quelconque influence en MTC)…
    Le livre que tu conseilles est donc dans ma liste pour les jours plus calme…
    Je te souhaite une trés belle journée (ainsi qu’à ceux qui passeront par ici aussi).

    jeudi 4, mai 2017 à 11h18
    1. Mély

      @ Marionette : Bonjour ♡
      Près de 5 ans plus tard, les montagnes (et son lac) me font le même effet : apaisant, ressourçant.
      La mère aussi, depuis, a un effet similaire (mais légèrement différent, et moins puissant ceci dit).
      Les énergies, la Nature a ses mystères, ses liens avec nous ♥
      Parfois il faut savoir les accueillir & les chérir sans pour autant les comprendre ou les mentaliser.
      (Touchée de savoir que tu remontes si loin dans les archives… ✩)

      jeudi 4, mai 2017 à 12h31

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