Douce mousseline rayonnante de vie

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Chaleur.
Au cœur de l’hiver.

Chaleur.
Au cœur du froid.

Douces effluves enveloppant.
Nos sens.

Un plat.
Cuisiné.
Longuement.

Un plat.
Mijotant.
Doucement.

Les plats ayant mijoté longuement.
Doucement.
A une température douce.
Est la méthode de cuisson la plus Terre en Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC).
Ceux qui me suivent depuis quelques mois le savent : je m’intéresse à la cuisine en MTC.
Cela me parle.
Beaucoup.
Cela me passionne.
J’y découvre plein de choses.
Au-delà des découvertes, je comprends plein de choses.
J’ai notamment compris pourquoi j’étais attirée par certaines saveurs
Les saveurs qui m’attirent énormément (surtout le soir venu – là aussi, le moment de la journée a une importance) sont les saveurs douces telles la vanille, la cannelle, la lucuma, le caramel, les textures de crèmes, mousselines, riz-au-lait, porridges & autres petites crèmes. Le potimarron, aussi. Ainsi que la châtaigne.
Toutes ces saveurs sont l’essence même de l’énergie Terre.
L’énergie qui me manque le plus.
C’est l’énergie nourricière.
L’énergie qui est au centre des 5 autres éléments.
Celle qui nourrit.
Qui apporte douceur.
Réconfort.
Qui enveloppe.
De douceur.

En MTC, chaque élément est rattaché à un type de cuisson.
Là aussi, c’est avec ravissement que j’ai découvert que mon type de cuisson préféré le soir est… celle de l’énergie Terre.
Des plats mijotés.
Longuement.
A feu tout doux.

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Je n’ai jamais supporté le cru.
Oui.
Je sais.
Cela va complètement à l’encontre de nombreux mouvements.
De nombreux articles.
Études.
Discours de naturopathes.
Le cru… Générateur de vie.
Apportant une quantité astronomique de nutriments.
Nutriments gardés, sauvegardés, car non détruits par la cuisson. Par des températures élevées.

Mais.
Je m’écoute.
Moi.
J’écoute mes ressentis.
Et, non, le cru ne me convient pas, depuis un moment.

Je sais qu’il convient à de nombreuses personnes.
D’ailleurs, je suis toujours en admiration devant des créations crudivores.
J’aime lire, découvrir (et même goûter, quand j’en ai l’occasion), ces créations si inventives, si belles, si colorées…
Les crudivores ont une imagination absolument étonnante, et j’aime les découvrir.

Toujours se fier à soi.
A ses propres ressentis.

Les miens m’indiquent que le cru ne me convient pas, à l’heure actuelle.
Alors, je m’écoute.
Je respecte le message de mon corps.
Et…
Là aussi, j’ai découvert une réponse, grâce à la MTC.
Je dois même avouer que c’est en grande partie cette découverte (liée à mon rejet du cru) qui m’a fait tendre vers la MTC. Elle m’a étonnée, parlée.
Oui, la MTC m’inspire, et me parle, beaucoup.

C’est en découvrant cette réponse, que j’ai décidé de m’y plonger, plus en profondeur, il y a de nombreux mois.
Car, depuis plus de 3 ans, je ne pouvais que constater ce rejet du cru, sans le comprendre.
Constat allant complètement à l’encontre de nombreux discours mettant en avant une alimentation saine.

Selon la MTC, les personnes qui, comme moi, sont en déficit d’énergie Terre, peuvent rencontrer des difficultés de digestion des aliments crus.
Pour expliquer ce phénomène, il faut comprendre ce qu’est le feu digestif.
Le feu digestif regroupe les organes clés d’une bonne digestion : l’estomac & la rate.
(Bien sûr, la digestion est bien plus complexe que cela sur le plan physiologique. Cela va de soi. Ici, nous nous plongeons dans la MTC qui traite des organes digestifs sur un plan énergétique, plus que physiologique)
L’estomac peut être comparé à une casserole qui a besoin de feu pour décomposer le bol alimentaire.
Et, c’est la rate assure l’entretien de ce feu.

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Prenons un exemple.
Un verre d’eau. Tout simple.
Lorsque l’on verse un verre d’eau froide (ou température de la pièce) dans une casserole, et que l’on allume le feu de notre plaque, on devra attendre quelques minutes pour que l’eau chauffe.
Il faudra du temps, et de l’énergie (électricité) pour que l’eau chauffe.

Dans notre corps, c’est la même chose.
Lorsque l’on ingère une substance à une température froide et/ou à température ambiante, notre corps doit dépenser de l’énergie pour pouvoir la réchauffer.
Selon la MTC, cette énergie nous fait perdre nos réserves énergétiques, et peut nuire à notre santé, si l’on n’a pas un feu digestif assez puissant.
Ainsi, les précieux nutriments (vitamines, minéraux & oligo-éléments) que l’on croyait épargner en mangeant cru nous coûtent en fait cher, car leur assimilation n’est pas garantie.
Et, pourtant… Comme le soulignent si justement de nombreuses études, le cru est très riche en nutriments, et la MTC souligne également qu’elle est riche en «Jing» (énergie).

Lorsque j’ai appris cela, j’ai souri.
J’ai souri, car cela allait à l’encontre de nombreuses choses que j’avais lues.
Que j’avais apprises.
Et qui étaient fondées sur des études. Scientifiques.
Pourtant, fidèle à mes ressentis, je ne pouvais que constater, et faire ce lien évident.
Ce lien entre mon déficit d’énergie Terre, et ce savoir, cette philosophie datant de plusieurs millénaires.
Encore une fois, la MTC ne se limite pas à un simple constat physiologique.
C’est tellement plus.
Cela me parle.
Beaucoup.
Moi qui suis sensible.
A l’énergie.
Depuis toute petite…

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Chaque élément est rattaché à des organes.
L’énergie Terre est rattachée à…
Vous l’avez peut-être deviné ?
L’estomac & la rate.
Les deux organes qui permettent de bien digérer le cru.
La boucle est bouclée.

Je continue de m’intéresser à la cuisine crue. Vraiment.
J’ai 2 amies crudivores à 80%, et de nombreux autres amis mangeant régulièrement du cru, dans leur alimentation.
Ouverte, j’adore apprendre.
D’ailleurs, je me suis offerte, il y a peu, le livre Crudessence (que je vous recommande fortement, et dont je vous parlerai tout bientôt).
Et, je continue à encourager mes clients, amis & famille, à manger d’avantage de cru, s’ils le digèrent convenablement (et vous, qui me lisez, continuer aussi, si vous l’aimez, et le digérez bien : il vous convient :-)).

Pour ma part, je m’écoute.
Je me respecte.
Je prends.
L’énergie Terre.
Qui me fait tant de bien.
Je m’en enveloppe.
Je m’en nourris.
Elle me ressource.
M’apporte la douceur.

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Les phrases qui vont suivre étonneront peut-être.
Je mijote.
Je mitonne.
Je prépare des plats.
Des crèmes.
Des mousselines.
Des purées.
Des plats ayant longuement mijoté.
Mais…
Des plats où les nutriments ont été précieusement préservés.

Un des achats les plus intéressants que j’ai fait, en cuisine, est mon matériel de cuisson à basse température.
Peut-être en avez-vous entendu parler (cliquez ici pour le découvrir & profiter d’une jolie promo) ?

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Quel plaisir.
De savoir que, quelque part, dans un coin de ma cuisine, j’ai un Chaudron.
Un peu magique.
Magique, car il me prépare des plats chauds.
Des plats mijotés.
Mitonnés.
Empreints de l’énergie Terre.
Qui me nourrit tant.
Qui m’enveloppe de tant de douceur.
Apaise mon cœur.
Et.
Et qui…
Peut, aussi, préserver un maximum les précieux nutriments, grâce à sa température toute douce.
Me nourrissant toute entière.
M’aidant à grandir.
Déployant mes ailes.
Pour pouvoir, à mon tour, nourrir d’autres.
De douceur, de recettes.
Qu’importe la forme.
Seul le fond a de l’importance.
Le mien reste intact.
Doux, et puissant à la fois.
Alliage de la Force de la Vie, et de la nourriture Terre intacte.
Une synergie puissante.

Une puissante synergie.
Qui se retrouve dans cette crème.
Orangée.
Orangée, grâce au bêta-carotène.

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Le bêta-carotène (appelé aussi «provitamine A») est le précurseur de la vitamine A.
Le précurseur signifie «l’étape d’avant».
On peut voir le bêta-carotène comme une petite chenille qui se prépare à devenir un beau & grand papillon (la vitamine A).

La vitamine A a de nombreux rôles, et est riche d’atouts :
◆ elle est anti-oxydante, et permet de limiter au mieux le processus d’oxydation auquel on est tous confrontés (processus de vieillissement normal, jusqu’à un processus qui peut être accéléré par de nombreux facteurs tels que le stress, la pollution, le froid…).
anti-infectieuse, c’est une précieuse alliée de notre système immunitaire
◆ la vitamine A a un impact bénéfique sur notre peau, en l’aidant à se protéger, et à se régénérer.

Le bêta-carotène se trouve dans des aliments d’origine végétale.
Pour faire simple : si l’aliment a une teinte orangée, il y a de grandes chances qu’il contiennent du bêta-carotène : potimarrons, abricots, toutes les courges, pêches, carottes, patates douces…

La transformation de la petite chenille (bêta-carotène) en joli & grand papillon (vitamine A, appelé aussi «rétinol») est réalisé par notre foie, notre thyroïde, tous deux aidés par des co-facteurs (vitamines, minéraux) & enzymes.
On trouve de la vitamine A sous sa forme finale (papillon) dans des aliments d’origine animale.

Contrairement à la vitamine A (papillon), un excès de bêta-carotène n’est pas toxique : le corps transforme, selon ses besoins la provitamine A en vit A.

Oh… Un point important !
Afin d’assimiler au mieux le bêta-carotène, il faut impérativement ajouter un petit corps gras.
Ainsi, lorsqu’on mange un aliment riche en bêta-carotène, si l’on veut bénéficier de ses atouts, on devra songer à consommer un peu d’huile végétale, quelques noix / oléagineux (amandes, noisettes, cajou, noix de Grenoble…), de la purée d’oléagineux (miam), ou du beurre de coco (no comment).

Potimarron.
Pomme.
Abricot.
Huile de coco.

Des saveurs.
Douces.
Tirant vers le sucré.
Sans être trop sucré.
Tout juste ce qu’il faut.
Pour être intense.
Intense de douceur.
Intense d’énergie Terre.

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Une synergie puissante qui enveloppe.
Nous berce.
Nous protège.
Nous nourrit.
Pour nous aider à grandir.
A grandir. A être plus nous.

Au-delà de cette énergie, une réalité.
Physique.
La préservation des nutriments.

Synergie parfaite.
De la Vie.

Recette réalisée avec mon matériel de cuisson basse température

Acquis en 2009, j’utilise au quotidien une batterie de cuisson basse température qui permet de préserver au mieux les nutriments durant la cuisson.
Grâce à un thermocontrôle, on peut choisir de ne jamais excéder une certaine température.
Cliquez ici (clic) pour découvrir ce matériel, ainsi qu’un comparatif complet de plusieurs marques, et… une jolie promo ♥

Ingrédients : (1 personne)

  • 1 petit potimarron (environ 200 à 400 gr)
  • 1 pomme douce & sucrée (non acide)
  • 2 abricots séchés
  • 1 cas d’huile de coco

Préparation :

  1. Lavez votre potimarron, et votre pomme.
  2. Découpez le potimarron & la pomme en dés (plus ou moins petits : plus ils sont petits, plus vite ils seront prêts & tendres).
  3. Dans un faitout, versez la pomme, le potimarron, et les abricots séchés.
  4. Versez 100ml d’eau (les ingrédients contenant peu d’eau, versez un peu d’eau aidera au mitonnage :-)).
  5. Faites cuire.
    Cuisson normale : 5 minutes suffisent… Le potimarron peut être manger cru (même la peau), et la pomme & les abricots séchés aussi. Ainsi, vous « chaufferez » légèrement les ingrédients, sans les cuire, et la perte de nutriments sera moindre.
    Cuisson basse température : placez le couvercle, allumez le feu (moyen), et lorsque le thermocontrôle arrive à 50°C (environ 7 minutes), arrêtez le feu. Laissez 5 minutes.
  6. Dans un blender : versez le potimarron, la pomme & les abricots séchés (gardez l’eau de cuisson pour l’étape 8).
  7. Mixez.
  8. Ajoutez autant d’eau de cuisson que vous le souhaitez (plus vous en mettez, plus la texture de la purée se liquéfiera, et tendra vers un velouté / soupe) et/ou selon la puissance de votre blender (avec un blender peu puissant, il se peut que vous aurez du mal à obtenir une texture fluide, et bien épaisse, sans ajouter d’eau de cuisson).
  9. Disposez l’huile de coco au sommet (après avoir versé dans un bol), ou dans le mixeur, selon votre convenance (j’apprécie la déposer à la fin, afin de la voir se dissoudre au contact de la chaleur)…

fin-citation

✤ ✤ ✤

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43 commentaires

  1. Mély

    Bonjour tout le monde ✿

    « Un certain Emmanuel est demandé à l’accueil » :-)
    Emmanuel : William de DEL a bien reçu votre e-mail, et a tenté de vous répondre, mais, malheureusement, sa réponse lui a été retournée (il semblerait que votre adresse e-mail était erronée).

    Pourriez-vous, s’il vous plait, m’envoyer un petit message (via le formulaire de contact), ou renvoyer un autre mail à William à l’adresse : info@del-beem.com

    Merci Emmanuel, belle fin de week-end à vous ☼

    dimanche 6, janvier 2013 à 7h34
  2. cuisson à basse température

    Bonjour,
    S’il est possible faire de la cuisson à basse température, c’est le mode cuisson idéal pour des aliments de qualité. Merci aussi pour l’article car les matériels mentionnés sont intéressants en effet

    lundi 14, janvier 2013 à 15h57
  3. Sophie

    Bonjour Mély!
    Je débute en cuisine « saine » et végétale, et j’aimerais savoir quelle est concrètement la différence entre le faitout et la sauteuse présentés (que peut-on faire avec l’un qu’on ne peut pas avec l’autre) ?
    J’aimerais investir dans ce matériel de cuisson à basse température et je souhaite faire le meilleur choix. Je suis seule et je n’ai pas beaucoup de moyens étant étudiante…
    Pour la cuisson à la vapeur, avec le faitout ça ne marche pas comme avec une cocote minute (avec une valve de dépressurisation), du coup quand on arrête la cuisson, comment la vapeur s’en va? Désolée si ça peut paraître bête… j’ai encore énooormément à apprendre…
    Merci d’avance pour tes réponses, et merci pour ce blog qui est une véritable mine d’informations! :)

    lundi 19, août 2013 à 15h26
  4. Mély

    @ Sophie : Bonjour,
    Il y a quelques années, alors que je m’informais sur les différentes marques, modèles, et tailles de faitouts, je me suis posée exactement la même question que toi :)
    Rassures-toi donc : ta question est complètement normale & légitime (et puis, c’est bien connu : les questions « idiotes » n’existe pas. J’espère que tu te sentiras toujours à l’aise, sur mon Chaudron, pour poser les questions qui te turlupinent).
    Voici les 2 réponses à tes questions :
    – entre la sauteuse, et le faitout, les seules différences sont la forme, et leur contenance.
    Sinon, au niveau de la cuisson, et des aliments que l’on peut cuisiner dedans, tout est semblable :)
    Les fabricants aiment bien revêtir des aspects semblables à des matériels de cuisson que l’on connait déjà (histoire de ne pas être trop déstabilisés).
    – la vapeur ne s’en va pas ! Toute la magie est là, ma jolie :)
    En cuisant, les oligo-éléments et les minéraux sont détruits, et une partie de ceux qui restent partent avec la vapeur d’eau…
    Ici : la température inférieure à 80°C ou 60°C (c’est toi qui choisit), permet de conserver tous les nutriments. Et… aucun ne s’échappe avec la vapeur d’eau qui reste, et retombe sur les aliments qui restent cuit à point, mais jamais trop :)
    – pour les moyens financiers… Ah, je connais bien cela !
    A l’époque où j’ai acheté ma batterie de cuisine DEL (c’était mon tout premier achat de cuisine « saine »), j’étais encore étudiante… !
    J’ai économisé, et ai effectué un paiement en 3 fois.
    Je ne l’ai jamais (jamais !) regretté.
    C’est certes un réel prix à débourser pour l’achat, mais… c’est à vie !
    Des bisous :)

    lundi 19, août 2013 à 19h31
  5. Colimasson

    Merci pour cet article très enrichissant.

    Je mange beaucoup d’aliments crus (au moins 50%, parfois davantage) mais j’aime aussi les saveurs très sucrées de type caramel, vanille, cannelle, potimarron, etc.

    Tu dis que cette dernière tendance est associée à un déficit de l’énergie Terre. A contrario, quelle énergie est associée au goût pour le cru ? Peux-tu me conseiller de bons ouvrages concernant la MTC ?

    Je suis ton blog avec intérêt. Bonne continuation !

    lundi 2, septembre 2013 à 15h05
  6. Mély

    @ Colimasson : Bonjour,
    L’énergie du Bois (Printemps) est associé aux crudités, et au croquant.

    A ma connaissance, il existe 2 ou 3 livres sur l’alimentation en MTC en français, mais aucun ne m’a réellement satisfaite (je leur trouvé en effet, pas mal de lacunes : beaucoup de points que j’ai vu en cours n’y sont pas, et ils me paraissent essentiels).
    Sur les 3, j’ai une préférence pour l’un : même avec des omissions, et des détails trop techniques, et d’autres peu pertinents, c’est celui que je trouve le plus utile pour une approche.
    Je l’ai glissé, dans ma page « Coin Lecture ». Je ne sais pas si tu es familière avec cette page (peu de gens la connaissent en réalité). C’est loin d’être une simple page où j’y glisse en vrac plein d’ouvrages en tout genre…
    C’est une page « Bibliothèque » où j’ai mis, et choisis uniquement les livres pour lesquels j’ai eu des réels coups de cœur et/ou qui ont grandement participé à m’apprendre beaucoup de choses quand j’ai commencé à me passionner sur la cuisine saine & gourmande (il y a bientôt 10 ans).
    Ma (réelle) bibliothèque est bien plus fournie… mais sur cette page, j’y ai mis uniquement mes plus beaux coups de cœur ici (clic)

    Bonne rentrée !

    mardi 3, septembre 2013 à 7h03
  7. Joanne

    Bonsoir douce Mély, c’est bien tardivement que je prends connaissance de cet article, mais rien n’arrive jamais par hasard… Votre article m’a fait monter les larmes aux yeux, moi qui culpabilise (étrange?) depuis des années de ne pouvoir digérer le crû… Fréquemment je reteste, mais rien à faire, mes intestins n’en veulent pas, ou en toute petite quantité; par contre, cet hiver, je me suis régalée de petits plats mijotés et comme vous, j’aime tout ce qui est doux, le même type d’aliment; intuitivement, je me suis souvent dit que ce qui m’attirait avait attrait à l’énergie terrestre, car je suis plutôt quelqu’un de  » céleste  » ^_^ et le corps faisant bien les choses… Bref, merci milles fois pour cet article, pour vos mots, pour votre présence si douce, je me sens beaucoup plus en accord avec mes choix culinaires à présent ;-)

    samedi 28, juin 2014 à 20h44
  8. chezdamien

    Bonjour,

    Merci pour cet article intéressant et enrichissant !

    mardi 26, mai 2015 à 13h34
  9. Fabienne

    Bonjour, merci beaucoup pour ce bel article et cette recette ; petite question SVP : à quel moment met-on l’huile de coco ?

    mercredi 29, mars 2017 à 17h39
    1. Mély

      @ Fabienne : Bonjour,
      On peut disposer l’huile de coco au sommet (après avoir versé dans un bol) ou dans le mixeur : c’est selon votre préférence (j’apprécie la déposer à la fin, afin de la voir se dissoudre au contact de la chaleur)…
      Belle dégustation !

      jeudi 30, mars 2017 à 6h45
  10. Fabienne

    Merci :-) !

    jeudi 30, mars 2017 à 18h28
  11. cotte marine

    Tu accompagné avec quoi pour un repas ??

    samedi 2, septembre 2017 à 21h24
  12. Anej

    Je viens de tester!! C’est succulent!! Merci pour la recette!

    mercredi 6, septembre 2017 à 17h17

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