- Le 24 Mar 2014
- 49 Commentaires
Le Kaniwa ou Canihua : un bébé quinoa… ♥
♫ ♪ Mots écrits & inspirés au son des notes mélodieuses d’Ég anda de Sigur Rós ♪ ♫
La vie est pleine de surprises.
La vie est un chemin, une ballade.
De découverte en découverte… on s’enrichit, on apprend.
J’adore apprendre. Découvrir de nouvelles choses.
J’ai appris, avec le temps, à ne pas (trop) m’attacher aux choses, aux sens.
Je continue à apprendre, à voir au-delà, à intégrer… à transmuter.
De nouvelles choses, des expériences, sensations, sentiments, visions.
Comprendre, intégrer un peu plus… qu’en Tout, le changement est constant.
On ne perd jamais rien.
Car, au final, on n’a jamais rien.
Déstabilisant ou rassurant… ?
Rassurant, lorsque l’on est en paix avec le fait d’être libre, seul, indépendant… et… tout à la fois connecté, uni, lié à l’Ensemble.
Tout peut nous atteindre, rien ne peut nous détruire.
Seul le présent est là. Au creux de nos mains.
En cette danse de la Vie…
En ce flux incessant, merveilleux…
Les Autres.
Merveilles des merveilles.
Découvrir, voir, interagir, ressentir, recevoir, donner, transmettre, aider à transmuter.
Bâtir des ailes. Ses ailes. Aider les Autres à bâtir les siennes. S’envoler. Tous ensemble.
Dans ce flux intense & merveilleux… le partage.
Donner. Recevoir.
Échanger.
Donner sans attendre en retour.
Recevoir tout grand.
Donner pour l’Autre, et non pour Soi.
Donner sans avoir aucune assurance, certitude, sécurité de «l’Après».
Donner tout, donner un peu de Soi.
Flux magique. Source de croissance. D’évolution. De transformation…
Se mouvant en une jolie danse.
Danse de la Vie.
Partager un bout de la vie, un bout de soi, un bout de ses connaissances, de ce que l’on reçoit.
Pour enrichir les autres de jolies choses.
Par plaisir, par passion. Juste «comme ça».
Pour dire «merci» aux cadeaux de la Vie, aussi.
C’est un peu grâce à tout cela que cet article a vu le jour.
Grâce à la danse de la vie.
Il y a quelque temps, j’ai reçu un joli paquet.
Expédié du Canada par une jeune femme que j’accompagne en Naturopathie, ce paquet contenait un petit présent : une pseudo-céréale (encore) inconnue en France.
J’ai eu le sentiment d’avoir en mes mains un petit trésor…
Un petit trésor que j’ai tout de suite voulu partager.
J’ai donc pris ma plume (virtuelle) pour donner naissance à cet article.
Pour partager la richesse contenue dans ces petits grains délicats du Kaniwa.
(Pour partager quelques grains, aussi, on y reviendra à la fin.)
Beaucoup de merveilles & de surprises sont contenues à l’intérieur.
Présentation
Quinoa… Kaniwa… ?
Le Kaniwa est aussi appelé «Canihua».
J’avoue préférer son petit surnom (que je trouve plus chou) : «Bébé Quinoa».
Surnom mignon & intriguant à la fois : ces deux trésors de la nature que sont le quinoa et le kaniwa se ressemblent-ils beaucoup ?
Oui… et non.
Ce surnom souligne à quel point le kaniwa & le quinoa ont un grand nombre de points en commun… mais… nous le verrons au fil de l’article : le kaniwa contient un grand nombre de richesses en plus.
Un vrai petit trésor ♥
Avant de plonger dans ses trésors nutritionnels & dans son univers culinaire, découvrons-le un peu mieux…
Ses origines… Un joli arbre généalogique en commun
En botanique, le kaniwa («Chenopodium pallidicaule») & le quinoa («Chenopodium quinoa») appartiennent à la même famille… une famille gourmande relativement grande, comptant également la betterave & l’épinard ♥
Information relativement technique, mais également intéressante
Il existe plusieurs classifications botaniques :
• la classification APG III (ou classification phylogénétique) se base sur l’ADN de la flore étudiée.
• la classification de Cronquist, plus ancienne & moins utilisée de nos jours, se base sur des critères morphologiques, anatomiques, et chimiques.
Ainsi… Selon la classification Cronquist, le quinoa & le kaniwa appartiennent à la famille des Chenopodiaceae, tandis que selon la classification APG III, ils appartiennent à la famille Amaranthaceae.
Décris-moi à quoi il ressemble…
Visuellement, le kaniwa est rond, et a une taille vraiment minuscule (j’aime bien penser que c’est la céréale des minipouces… ou des fées ?).
Il arbore des couleurs allant du rouge sombre aux bruns foncés : une délicieuse palette de tons terrestres.
Parmi les autres céréales & pseudo-céréales que nous offre Dame Nature, le quinoa est celui qui pourrait se rapprocher le plus du kaniwa :
♦ de par leur forme ronde, car toutes les autres ont le plus souvent des formes allongées & ovales (riz, épeautre, kamut, blé, avoine…), ou triangulaire (sarrasin).
♦ ainsi que de par leur couleur : le quinoa arborant des couleurs beige, rouge & noir, ces deux dernières se rapprochant de la couleur du kaniwa.
Comparé au quinoa, le kaniwa est beaucoup plus petit (ce qui, je trouve, lui donne un air plus chou).
De par leur appartenance à la même famille botanique, et leur subtile ressemblance a certainement découlé le surnom du kaniwa : «Bébé Quinoa».
Céréale, pseudo-céréale ?
Le kaniwa n’est pas une céréale à proprement parler, mais une «pseudo-céréale», au même titre que le quinoa, ainsi que beaucoup d’autres denrées gourmandes que l’on utilise comme des céréales : sarrasin, millet, teff, fonio, amarante…
Le kaniwa est une graine, et ne contient par conséquent pas de gluten.
Ses terres d’origine : voyage dans le temps & l’espace…
Joli kaniwa est encore peu connu de nous, Occidentaux : que ce soit en France, en Europe.
En Amérique du Nord (Canada et États-Unis), cette mini-graine commence tout juste à pointer le bout de son nez, et a commencé à faire parler un peu d’elle.
Pourtant… Cette petite graine est consommée depuis plusieurs milliers d’années sur ses terres d’origine : la Bolivie & le Pérou.
Elle pousse dans les montagnes, à très haute altitude (comme le quinoa) à des hauteurs variant de 3 500 mètres à 4 300 mètres.
Propriétés
Valeurs nutritionnelles & intérêts
Sa petite taille ne reflète en rien la richesse nutritionnelle qu’elle contient… ainsi que ses atouts bien précieux :
♦ Le kaniwa est une source de protéines complètes (contenant les 8 Acides Aminés Essentiels), au même titre que le quinoa, le petit épeautre, et l’amarante… une information intéressante & précieuse pour toutes les personnes consommant peu (ou pas) de protéines animales, ou essayant de réduire leur consommation de protéines animales.
Contenant environ 16 % de protéines, le kaniwa a une teneur protéique supérieure à la moyenne des autres céréales & pseudo-céréales (moyenne qui avoisine les 11%).
♦ Le kaniwa contient 13 g de fibres pour 100 g : une teneur relativement élevée pour une céréale (et pseudo-céréales). La présence de fibres est un atout précieux pour assurer un transit régulier.
♦ Ne faisant pas partie de la famille des céréales, elle ne contient donc pas de gluten, ce qui en fait un aliment intéressant pour les personnes allergiques, intolérantes, ou souhaitant consommer peu de gluten.
En revanche, en cuisine, cela nous obligera à user de quelques astuces dans les préparations où l’on souhaite obtenir une pâte levée (voir ci-dessous, dans la partie «En cuisine»).
♦ Avec sa teneur en calcium qui est d’environ 110 mg / 100 g, le kaniwa est une très bonne source de calcium végétal, et figure parmi les céréales & pseudo-céréales en contenant le plus.
♦ Le kaniwa a une teneur en fer supérieure à la moyenne des autres céréales & pseudo-céréales.
Le fer est un minéral important de par ses nombreux rôles, et plus particulièrement pour les femmes dont l’apport journalier recommandé est près de 2 fois supérieur à celui des hommes.
Ce besoin accru est en parti dû au fait que le fer étant un élément de notre hémoglobine (lui-même composant notre sang), chaque début de cycle, les femmes en perdent une petite quantité.
Il est fréquent que les femmes soient anémiées (carencée en fer), et doivent en subir régulièrement les symptômes pesants à vivre au quotidien : fatigue, baisse d’énergie, hypotension…
Même s’il est bien sûr intéressant de privilégier des sources alimentaires riches en fer facilement assimilable (toutes les sources ne le sont pas), il faut garder à l’esprit que ce trouble de l’homéostasie (*) est aussi & surtout un signe indiquant un trouble / déséquilibre sur sa difficulté à assimiler et/ou conserver notre fer. Ce trouble pouvant être causé par un grand nombre de facteurs croisés, chaque anémie doit être appréhendée différemment : un bilan naturopathique est un excellent moyen pour essayer de déceler les potentiels facteurs en cause.
* homéostasie = tous les différents mécanismes de notre organisme agissant pour maintenir notre milieu corporel interne relativement stable (température corporelle, pression artérielle, équilibre acido-basique…), ceci grâce à différents systèmes : systèmes tampons (équilibre acido-basique), au système respiratoire, le travail des reins (pression artérielle)…
♦ Le quinoa, le soja, les petits pois, l’épinard, la tomate, la pomme de terre, l’ail, la châtaigne, la salsepareille, le lierre, la racine de réglisse ont tous un point commun.
Ils contiennent tous des saponines.
Les précieux grains de kaniwa, non.
L’absence de cette substance est plutôt un atout gourmand – que nos délicates papilles apprécieront – plus qu’un réel avantage nutritionnel.
Les saponines… mais qu’est-ce donc ?
Les saponines sont des substances contenues naturellement dans certains aliments, notamment sur leur enveloppe (plutôt qu’à l’intérieur).
Si leur action peut être toxique lorsqu’elles sont injectées en intraveineuse & en grande quantité, elles ne présentent aucun (italique) danger pour l’Homme lorsqu’elles sont ingérées en quantité normale, via des aliments en contenant.
En revanche, elles donnent un goût amer, qui peut être relativement désagréable pour les palais délicats, et les personnes n’appréciant pas cette note gustative.
La cuisson en détruit une certaine quantité (et peut donc atténuer l’amertume des aliments pouvant être consommés cuits).
Rincer soigneusement ces aliments avant leur consommation ou leur cuisson permet d’éliminer est également un autre moyen de diminuer leur contenance en saponines… c’est pour cela que l’on conseille généralement de rincer soigneusement le quinoa.
En cuisine
Au niveau des papilles
Mmmh…
En texture, ce petit trésor est un côté croustillant, craquant… qui fond sur la langue.
Gustativement, étant dépourvu de saponines, il n’a pas l’amertume que peut avoir le quinoa (s’il n’est pas rincé suffisamment avant sa cuisson) : le kaniwa est doux, subtil, avec un léger goût de noisette ♥
Comment le cuisiner ?
♦ Pour la préparation du kaniwa : il faut respecter une certaine quantité d’eau (sous risque de «noyer» le kaniwa si l’on met trop d’eau) : 2 volumes d’eau pour 1 volume de kaniwa sont un ratio de quantité parfaite.
Petite info utile : un volume de kaniwa cru donne un volume de kaniwa cuit (le kaniwa, comme toute céréale ou pseudo-céréale gonfle après cuisson).
♦ Pour la cuisson du kaniwa : il faut amener l’eau à ébullition (feu maximum).
Dès que l’eau bout, on baisse le feu (feu moyen) de manière à garder un léger frémissement.
On verse les grains dans l’eau frémissante.
On laisse ensuite cuire par absorption (jusqu’à ce que le kaniwa est absorbé l’eau), en veillant à laisser un couvercle pour minimiser l’évaporation de l’eau.
Le kaniwa est donc cuit lorsqu’il a totalement absorbé l’eau (environ 15 à 20 minutes).
On peut, si on le souhaite, toaster rapidement le kaniwa à sec dans un poêle, avant de le faire cuire : cela relèvera ses notes.
♦ On peut aussi le consommer germé, comme toute céréale ou pseudo-céréale.
Même si nutritionnellement parlant, cette option est intéressante, à mon sens, c’est loin d’être la meilleure manière pour mettre en avant la subtilité gustative du kaniwa.
Idées recettes
Un large éventail de choix s’offre à nous pour utiliser, consommer, et décliner le kaniwa :
♦ la manière la plus commune sera la même que celle des autres céréales : en salé, en tant qu’accompagnement ou en plat principal.
On peut l’accompagner de légumes, d’une petite légumaise, une part de légumineuse, la glisser dans une salade composée…
On peut l’utiliser pour farcir des légumes : petites courges en automne / hiver, chapeaux de champignon retournés, courgettes rondes, poivrons, tomates…
♦ Lorsqu’on l’utilisera germé, on utilisera le kaniwa plutôt comme un délicat ajout pour réhausser le goût, ou contraster la texture d’un met.
On peut ainsi imaginer l’utiliser 1 à 2 cac pour farcir des makis ou des rouleaux de printemps végétariens. En glisser 1 cas sur le dessus d’un potage de légumes apporte un contraste en texture, une touche de fraicheur délicieuse… !
♦ Elle est merveilleuse pour épaissir des soupes de légumes… en de délicieuses crèmes de légumes «doudou».
Son goût délicat de noisette… la texture épaissie, onctueuse, et crémeuse grâce au Vitamix : un bonheur pour les papilles… et un atout précieux pour garder une jolie silhouette ♥
♦ Le kaniwa fait de fabuleux porridge avec un petit croquant agréable & original.
Dans le même esprit, on peut réaliser des petits entremets type riz-au-lait ou semoule de riz.
Gustativement, le kaniwa s’associe bien avec les laits d’amande, de soja, de riz, et d’avoine.
La purée d’amandes complètes, et de noisettes également. La cannelle est une épice formant une magnifique association.
♦ Avec un robot puissant tel que le Vitamix, on peut moudre le kaniwa pour en obtenir une farine, et l’utiliser dans de nombreuses préparations (sucrées ou salées) : pâte à tarte, muffin, cake, gâteau, biscuit…
On peut toaster le kaniwa (à sec dans une poêle) avant de le réduire en farine : cela fera ressortir son goût.
♦
En pâtisserie, on peut utiliser le kaniwa pour remplacer les graines de pavot : sa minuscule taille & son côté croustillant s’y prêtent à merveille. Cela augmente aussi la qualité nutritive des petits mets sucrés.
♦ Pour les préparations nécessitant une levée, comme les pains ou gâteaux, le kaniwa ne contenant pas de gluten, il sera difficile d’obtenir une mie aérée & mœlleuse.
Je conseille donc aux intolérants de la mélanger avec un peu de farine contenant un gluten plus digeste (petit épeautre), et aux personnes allergiques de visiter le fabuleux site de Florence de Makanai ou Laurent de La Faim des Délices qui regorgent de conseils de panification sans gluten.
Où en trouver ?
Au Canada
On peut en trouver relativement facilement en magasin (épicerie) bio, ou sur certains sites de vente en ligne comme Well.ca ; GoGoQuinoa ; Omfoods ; NorQuin.
En France
Dans notre doux pays règne pour le moment un joli (et grand) méli-mélo de confusion dû, je pense, à une simple ignorance de la part des marques / distributeurs.
À l’heure actuelle, et à ma connaissance, 2 seules marques en commercialisent… mais ne la commercialisent pas en tant que céréale (ou pseudo-céréale) :
♦ la marque De Bardo en propose comme «graines à germer» par paquet de 200g (Greenweez en vend);
♦ la marque Moulin des Moines la vend avec l’appellation «graine de Canihua» par paquet de 250g, ce qui peut prêter à confusion en faisant penser qu’il s’agit de graine (oléagineux) à consommer comme les graines de lin, pavot, sésame…
(Ils ne la référencent pas sur leur site – seule la farine l’est).
Ce choix de positionnement du produit par l’appellation donnée, ainsi que le poids (conditionnement), et le prix (nettement plus élevé que nos amis Canadiens), fait du Kaniwa un produit de consommation bien différent de ce qu’il pourrait être dans notre doux pays… et qu’il est déjà au Canada, États-Unis, et… sur ses terres d’origine.
Le souhait de rendre plus accessible le Kaniwa (et de dissiper cette confusion) étant bien ancré en mon cœur (et mes papilles) de gourmande, j’ai contacté Laurent (de NutriNaturel), ainsi que Jeff (de Sol Semilla), et quelques autres distributeurs (en privilégiant les petites structures) pour leur en parler.
Qui sait… peut-être que la magie opérera… ? Après tout… si les Fées existent… tout peut arriver, non ?…
Bien sûr, je viendrai éditer mon article dès que le kaniwa pointera le bout de son nez dans notre douce France, pour partager avec vous où l’on pourra s’en procurer.
Pour ma part, j’ai reçu 2 paquets de 500g, que m’a offert & expédié une jeune femme que je suis en Naturopathie, et habitant au Canada, près de Montréal.
J’ai été touchée par son geste, sa générosité (cela lui a coûté des frais de port très important… comme j’ai pu le constater de moi-même en recevant le paquet, ce chiffre étant clairement indiqué sur le paquet).
J’imagine à quel point la lecture de cet article pourra susciter la gourmandise de chacun, la curiosité de beaucoup…
J’imagine (aussi) que la rareté de ces petits grains pourra générer une certaine frustration…
J’en suis désolée par avance, et si j’ai fait le choix de publier cet article, c’est aussi en espérant qu’il générera des efforts de marques / distributeurs français à essayer d’importer le kaniwa… et de le commercialiser comme une vraie pseudo-céréale (et je prie tout fort pour que cela soit fait à petite échelle, dans le respect de Dame Nature… je prie aussi bien fort pour que ce soit des petites structures qui réalisent ce premier pas).
Je ne pouvais imaginer clore cet article sans vous en proposer un peu.
J’aime partager, donner, transmettre.
Ça fait simplement partie de moi.
«On» m’a tellement donnée…
À mon tour. Je donne.
J’aurai souhaité donner plus ce que je vais proposer.
Mais la réalité matérielle m’impose des limites… auxquelles je me plie.
(J’ai, bien sûr, pris le soin de demander l’autorisation à la jeune femme m’ayant offert & envoyé ces paquets d’en partager un peu… elle a trouvé l’idée délicieuse, et a accepté bien volontiers… La générosité est plus douce lorsqu’elle se répand…)
Cinq petits paquets sont prêts pour cinq d’entre vous.
Glissez-moi un petit mot en commentaire (vous pouvez me glisser ce que vous souhaitez en petit mot) jusqu’au 30 avril (inclus) : je laisserai alors le sort décider qui seront les 5 à accueillir ces petits sachets de 100 grammes.
Résultat du concours – édit du lundi 31 mars à 22h25
Le sort a désigné : Émilie (commentaire du 24 mars à 12h34), Élise (commentaire du 24 mars à 14h38), Cindy (commentaire du 24 mars à 20h33), Cél (commentaire du 25 mars à 17h50), Mélanie Moniat (commentaire du 28 mars à 11h35).
Je prendrai ma plume (virtuelle) avec joie & délice pour vous contacter tout bientôt, pour vous demander votre adresse postale : les petits paquets partiront courant avril ❀
Mmmh…
Cela serait merveilleux que vous partagiez cet article par différents moyens (réseaux sociaux, mails…) : le kaniwa gagnerait à être connu en France, et… la Loi de l’Attraction… vous connaissez ? ♥
Vaste monde.
Richesses inexploitées, inconnues.
Trésors contenus, là.
Dans des bouts de la Terre, des bouts de terre, des bouts de nous, au creux des cœurs de tous.
Tour à tour, donnons.
Un petit bout de la terre, de nous… à l’Autre… au Tout…
Dans le respect de la Terre, partageons.
Pour Soi.
Pour l’Autre.
Pour l’Ensemble.
Pour les petits cœurs de chacun…
Douce journée.
Prenez soin de vous.
Vous êtes précieux.
♥
Merci Mély de nous faire partager cette découverte sur ce bébé céréale… partager, donner, échanger, transmettre,li y aurait plein d’autres verbes… Aller à la rencontre des autres….
Il y a tellement de façon de s’enrichir…
Bonne journée, et au plaisir de te lire.
Hindi
Bonjour Mély, je suis la première à te laisser un commentaire et j’en suis ravie! ;-) Je te félicite encore une fois pour tous tes articles qui sont toujours très agréables à lire et riches d’informations instructives!
Je suis très heureuse d’apprendre l’existence de cette « nouvelle pseudo-céréale » proche du quinoa car mangeant sans gluten et adorant déjà le quinoa, je me réjouis de pouvoir bientôt ajouter une nouvelle saveur à ma palette d’aliments sans gluten.
J’ai hâte qu’un distributeur la prenne sous son aile! (visualisations positives+++)
Je te remercie pour ta généreuse proposition et je t’envoie plein de lumière qui ne manquera pas, j’en suis sûre, d’alimenter toutes les petites entités lumineuses qui t’accompagnent et t’inspirent tous les jours lors de l’écriture de tes articles;
Je t’embrasse
Sandrine
Bonjour Mély,
Très intéressant toutes ces informations car je ne connaissais pas cette pseudo céréale.
Maintenant pourquoi toujours chercher à consommer des aliments qui viennent de si loin?
Une réflexion que je commence à voir.
Même si je continue à acheter des aliments venant de loin, le quinoa par ex je le prend produit en France.
Bonjour Mély,
Vous êtes très généreuse en plus des multiples talents qui vous caractérisent (tels que la poésie et la féérie qui se glissent dans tous vos posts…)!!
Eh bien j’espère que la petite graine magique fera le voyage jusque dans le Var où je la partagerais à mon tour volontiers avec mes amies qui se passionnent pour l’alimentation-santé-plaisir…
Car le Quinoa est déjà un ingrédient magique de ma cuisine, tout comme l’amarante… alors on fera une grande place à ce petit bébé – quinoa…lol
Je vous embrasse Mély… oups… on peut faire des bisous aux fées sans qu’elles disparaissent ??
Oh voilà une pseudo céréale, toute mignonne et qui semble regorger de bienfaits !
Je trouve rigolo qu’elle fasse partie de la même famille que les épinards et les betteraves, j’aime beaucoup ces deux aliments.
Néanmoins, je ne souhaite pas participer au tirage au sort : j’ai déjà eu la chance de recevoir de merveilleux cadeaux, je laisse donc l’opportunité à d’autres curieux de faire des découvertes.
Merci pour vous articles toujours si inspirants !
Belle journée douce Mély…
Bonjour Mély,
Encore un bel article plein de « D » : douceur, délice et découverte ! Ce bébé quinoa semble être un cousin de l’amaranthe « tandis que selon la classification APG III, ils appartiennent à la famille Amaranthaceae » ?
J’espère qu’il se répandra très vite et qu’on pourra s’en procurer … partout ! ;-D
En tant que gourmande incorrigible, j’ai hâte d’y goûter … j’adore découvrir de nouveaux goûts, textures … mes papilles sont déjà en train de frétiller !
Belle semaine à toi Mély,
Servane
J’adore le surnom.
J’ai essayé il y a très longtemps le quinoa, et j’avais un gros problème de texture, je n’aime pas du tout en bouche par contre le goût ne me dérangeait pas, bien au contraire.
En tout cas si le bébé quinoa a un léger goût de noisette et qu’il est tout doux, il me tarde de le découvrir.
Merci pour cette découverte.
Ps : Les photos sont supers jolies. :)
Bonjour Mély,
Quel plaisir de recevoir vos messages et articles si instructifs! Et si joliment présentés.
Travaillant dans un magasin bio je ne me lasse pas de parler de votre site à certains de mes clients qui souhaite en savoir plus sur les aliments magiques!
Merci pour toute les informations que vous nous donnez!
Bonne semaine et à bientôt!
★
La Vie est réellement bien faite, c’est indéniable… magique même !
Cette dernière nous donne de quoi « nourrir » notre corps et notre coeur avec tant de tendresse en d’Amour !!!
Elle est également magique, féérique et si maternelle… lorsqu’elle met sur notre chemin… des personnes comme vous, chère Mély… vous qui savez si bien retransmettre cette douceur et cet Amour <3
C'est fou ce que la Vie est bien faite… lorsque par quelconque raison, je me sens angoissée ou patraque, que j'ai besoin de cette tendresse, si représentative de notre Mère Nature, et que vous dégagez vous-même si naturellement~
Et bien c'est à ce moment précis que vous apparaissez, telle une petite fée, avec un nouvel article !
Et en plus, un article présentant un nouvel ami de notre petit corps !
Réellement, la Vie est merveilleuse <3
Que dire de plus, à part que ses précieux cadeaux, je veux pouvoir, à chaque instant de mon existence, les savourer et les donner à mon tour à l'Autre <3
Vous l'avez remarquez, au fil de mes commentaires, je fais énormément de coeurs à la fin de mes phrases <3
J'aime beaucoup les coeurs <3 J'en fais partout ~ même dans le vide !
C'est un petit symbole qui me représente bien, celui avec lequel je m'accommode le mieux <3
C'est aussi une manière pour moi d'exprimer à l'écrit, toute la tendresse que je veux dégager dans ce que je dis <3
Ces tous petits coeurs aujourd'hui, chère Mély, je voudrais vous les dédier en toute humilité <3
Je vous souhaite, pour cette belle journée, de merveilleux moments doux et colorés <3
Merci pour cet article :) ! Ma curiosité a été piquée dès que j’ai vu le nom de cette pseudo-céréale. Ca ferait même un joli prénom !
Je partage l’article… et suis intéressée par ce tirage !
Bonjour Mély,
J’aime beaucoup le quinoa, se pourrait-il que ce soit le quinoa rouge vendu comme variété « quinoa » et qui serait en fait le « pallidicaule » ou est-ce réellement une autre variété ?
Je n’ai pas trouvé d’ informations complémentaires dessus.
Merci aussi pour ce bel article.
Encore un Fabuleux article… Qui donne envie de découvrir!
Merci de nous faire partager tout cela, avec toujours la même poésie… J’aimerais beaucoup, beaucoup trouver cette pseudo céréale dans le coin… Si j’y arrive, je ne manquerais pas de te faire connaitre les nom du ou des fournisseurs s’il en existe en Suisse!
Bonne dégustation de cette petite graine (je crois que j’aimerais beaucoup la découvrir en porridge, avec une cuillère de beurre de noix de cajoux (étant intolérante aux noisettes que j’adore pourtant!) :-D) !
Merci pour cette jolie découverte Mély !
Je ne connaissais pas cette pseudo-céréale mais rien que son petit nom de bébé quinoa me donne envie d’y goûter. Et si en plus elle a un goût de noisette… mmmh.
Vivement qu’on puisse nous aussi s’en procurer facilement comme au Canada :)
Félicitations pour cet article, comme toujours admirablement documenté.
Votre site est remarquable, et transmet également un merveilleux sentiment d’évasion.
Bonjour Mély,
Merci pour cette super découverte qui me met en appétit surtout avec un petit goût de noisette! :o)
C’est vrai que son surnom est rigolo! :o)
Merci pour la délicatesse de vos mots. Pour votre temps, aussi, à déposer votre empreinte, vos pensées, vos envies gustatives ayant germées suite à la lecture de cet article… ♥
@ Audrey : Les Fées apprécient toute énergie bienveillante (dont les hugs, les bisous, ou les simples pensées aimantes…) :)
@ Mnêmosunê : C’est très délicat de votre part… !
Et, il est également bien délicat de laisser un petit empreinte sans arrière pensée aucune ♡
@ Jessica : Oh… En lisant votre commentaire, je m’interroge : avez-vous déjà essayé d’utiliser le quinoa en flocons (si vous aimez son goût, mais pas sa texture entier) ? Une option à essayer… peut être ?
@ Ganaëlle : Au plaisir d’échanger… tout bientôt… !
@ Marianne : Bonjour ❀
Le quinoa rouge & le kaniwa sont bien différents l’une de l’autre :)
@ Christel : Bonjour ✭
Tu es la première à soulever cette (pertinente) question, et ne sera probablement pas la dernière…
J’accueille donc ton intervention pour y répondre avec bienveillance en espérant que cela répondra aux autres qui songeront tout autant que toi à prendre soin de notre jolie planète Bleue ✩
Et m’excuse, aussi, par avance, si ma réponse suscitera en toi une certaine confusion : peut-être en glissant ton petit mot, tu ne t’attendais pas à générer une réponse si longue & complète… ?
Tu as peut-être déposé ces mots en te glissant une simple réflexion que tu t’étais faite pour toi-même (comme on pourrait le faire « à voix haute », en lisant un article)…
Je profite simplement de ton petit mot pour répondre à de potentielles réflexions que d’autres pourront avoir, suite à la lecture de cet article :)
Avant de formuler ma pensée, un partage : celui d’Ophélie, auteur du blog Antigone xxi, qui a écrit un article que j’ai beaucoup apprécié (et que j’invite à découvrir) sur la consommation de consommer des produits dont l’empreinte de carbone est faible (entre autre) : il est ici – clic.
Concernant mes propres choix de consommation alimentaire : plutôt que d’élaborer une longue, et détaillée justification (dont je ne ressens ni le besoin, ni l’envie de créer :) ), j’ai plutôt envie d’inviter à poser un regard différent sur ce (vaste & beau) débat qu’est l’empreinte écologique de la consommation de notre société :
♦ D’une manière générale, je distingue deux « profils » de consommateurs : ceux qui ont conscience que peut induire l’achat de produits (alimentaires ou non) sur notre jolie planète (empreinte carbone, également éthique), ainsi que l’impact physique (sur notre petit corps), de ceux qui n’en ont pas conscience.
En effet… Si le premier « groupe » peut agir (à chacun en fonction de ses priorités, de ses revenus, et de son propre rythme), le deuxième… ne le peut pas.
Bien souvent, les gens du deuxième groupe sont critiqués… mais… même si l’on a chacun une responsabilité à essayer de s’instruire/apprendre/comprendre, encore faut-il avoir conscience que certains sujets peuvent être creusés…
Faisant partie du premier groupe, lorsque je rencontre des personnes du deuxième, et que le sujet de consommation écologique vient au fil de nos échanges… je n’emploie jamais de ton accusateur, critique, ou jugeant… Bien au contraire : j’essaie, doucement, posément, à amener la personne en face à voir tout ce qui peut découler de l’acte de consommation (je commence avec des exemples qui ne lui parlent pas, pour éviter de générer des sentiments culpabilisants… puis peu à peu, en douceur, j’utilise des produits qu’il consomme, en restant toujours douce).
Je conçois & comprend que lorsqu’on appartient au premier groupe, on a envie de « refaire » le monde, de le rendre plus beau, plus doux, plus respectueux… et d’entrainer tout le monde avec nous (dont les personnes du deuxième groupe).
Mais… Avant de changer quoique ce soit… peut-être serait-il bien d’accepter & d’accueillir les choses telles qu’elles sont ?… Et de laisser les autres cheminer à leur rythme… ?
♦ Accepter que, pour certaines personnes, l’empreinte carbone n’est pas une priorité dans leurs choix de consommation… et respecter ce choix (s’ils en ont conscience).
Peut-être ont-ils des raisons légitimes… ?
Je pense à certaines personnes ayant eu des pathologies très lourdes (cancers, SEP, tumeurs…), et dont la priorité est avant l’impact sur leur santé que peut produire un produit… plutôt que son empreinte écologique.
Une lourde pathologie peut être vécue comme un réel traumatisme…
D’autres encore, opteront pour donner une plus grande priorité au respect animal (végétarisme, végétalisme, ou vegan), et l’impact physique passera au plan supérieur (beaucoup de personnes confondent alimentation saine & végéta*ienne, et j’ai déjà abordé ce sujet ici (clic)).
Il me semble important que toutes les personnes ayant cette conscience (induite par leur consommation / appartenant au premier groupe) puisse accepter les différences chez les autres…
On peut même échanger, entre nous : il est certain que le voisin saura des choses que l’on ignore… et, libre à nous, ensuite, peu à peu, et notre rythme, de changer (ou de décider de ne pas changer) notre consommation.
♦ Pour clore ce sujet, je glisserai une simple petite question : le riz est originaire de quel région de notre jolie Terre… ?
Il me semble qu’il vient de (bien) loin…
Même si, avec le temps, l’Homme a amené certaines variétés à pousser maintenant en Camargue, Italie…, un grand nombre des riz que l’on trouve de nos jours vient encore des jolies contrées d’Asie :)
Et… d’un point de vue génétique, le riz a ses sources en Asie… :)
Est-il donc « mal » de le consommer, si on le regarde avec cette même vision… ?
Le riz correspond-il à nos besoins physiologiques & physiques… ?
Et pourtant… il passe comme une lettre à la poste… car il est passé dans nos mœurs ?
Et le blé… dont les origines sont plus proches de nos contrées, certes… mais qui a subi une telle quantité de modifications génétiques, qu’est-il encore réellement adapté à notre physiologie… ?
Mmmh… L’écologique, l’environnement… comme tout sujet… peut être vu de tellement de manières…
Je pense que l’on peut tendre vers notre propre harmonie (différente pour tous), en essayant d’avoir la vision la plus large possible, en restant ouvert à l’échange & le débat (sans se juger soi, ou l’autre, en face), en essayant de comprendre les mécanismes qu’induisent nos choix (sur notre santé et/ou celle de notre planète, en fonction des priorités de chacun)… puis… ensuite, essayer de faire nos choix en fonction de cette jolie vision d’ensemble & de toutes ces interactions ♡
Te lire m’apporte un bien être immense, merci à toi d’avoir une aussi belle plume, à travers tes écrits on ressent ta zénitude c’est un vrai bonheur. <3
Coucou Mély :)
Je connaissais déjà ce bébé quinoa que j’avais vu dans une recette de « Au gré du marché » mais je n’en ai jamais mangé et c’est donc avec plaisir que je tente ma chance pour gagner un de ces petits sachets :)
Merci pour toutes ces précieuses informations :)
Magique! C’est toujours aussi magique pour nous à chaque fois que l’on reçoit vos articles!
J’ai vraiment hâte de goûter a cette nouvelle céréale que je ne connaissais pas; le quinoa oui mais pas le kaniwa!
Merci pour ce partage gratuit, comme toujours… je suis toujours sensible à ce qui est don de soi pour son prochain: la petite idée des cinq sachets est excellente!
Chère Mély, vos petits coeurs signifient que vous avez un grand coeur!!!
Que vos journées soient belles et ensoleillées!
De jolis mots pour une jolie graine…
Merci pour cette info et ton article super complet :)
Bonjour Mély ! Merci pour ce joli partage, j’adore connaitre de nouveaux produits ! Grâce a vous j’ai déjà découvert et goûté beaucoup de produits (farine, sucre, beurre, huile de coco, amarante, les farines magiques…) et c’est un pur bonheur à chaque fois.
Encore merci.
A bientôt !
Merci petite fée enchanteresse,
pour ces mille et une richesses, douceurs, découvertes sensibles,
qui sont chaque fois plus douce, plus subtiles, et qui remplissent le coeur d’amour et de tant de chaleur et d’harmonie.
Merci, merci, merci à l’univers, d’envoyer des petites fées sur notre douce terre pour laisser s’épanouir les petites et grandes merveilles de notre terre nourricière.
Continuons à semer des graines d’amour, de partage, de joie, et de paix.
Et goûtons à ces petits trésors de Kaniwa,
sublimons les dans notre cuisine épicée, douce, sauvage, croquante et craquante….
Mille merci….
Merci pour cette double découverte (j’écoute Sigur Rós avec plaisir et émerveillement…en fait je crois l’avoir déjà écouté parce que le nom était glissé dans un de tes articles).
Le goût de noisette du bébé quinoa me laisse rêveuse…
et les photos sont tout juste magnifiques !
J’ai aussi lu avec beaucoup d’intérêt les précisions-réponses sur les choix alimentaires et ce qu’ils impliquent. Je me rappelle avoir lu quelque chose écrit par Sol Semilla à ce sujet (l’idée était que pour les aliments « patients » – qui ne risquent pas de mûrir et qui ont tout leur temps – les voyages en bateau sont de belles aventures qui ne brutalisent pas la planète).
Encore…merci.
Bonjour Mely
Intolérante au gluten et curieuse de tout côté cuisine, je te remercie pour ce partage!!
J adore le commentaire de Lucie sur les petites fées, elle a dit tout ce que je ressentais avec de très jolis mots semblables aux tiens!!
Belle journee
Un bon jour Mély :)
C’est toujours un réel plaisir de te lire, tu me fais découvrir de bien belles choses à chaque article.
J’espère bien que le Kaniwa va se développer chez nous.
Je te remercie pour toute ta générosité.
A bientôt !
Quelle jolie, jolie petite céréale! J’imagine déjà ce que cela doit donner en bouche, plein de tout petits grelots de quinoa…Mmm! J’espère qu’un partenaire tel que Nutrinaturel en proposera bientôt!…
Oh, et…Il est bien joli ce vernis à ongle d’azur! J’aime beaucoup ;-)
Merci pour ce voyage en hauts lieux, sur les hauts plateaux qui donnent naissance à de petites pépites gustatives, aux faîtes des montagnes, près du ciel des fées…
Douce soirée à tous, pleine de petits grelots…
Merci Mély pour ce joli article plein de sagesse. J’ai été particulièrement sensible à sa lecture car il fait écho à des passages que je traversent actuellement, des interrogations que je me pose.
Merci et douce journée à toi
Oh mais un nouvel aliment à découvrir, ça me plait ! Ces mini graines attisent déjà ma curiosité et en tant que grande fan du quinoa j’ai déjà hâte de les découvrir :D Merci d’avoir partagé cette jolie découverte !
Bonsoir Mély,
Je te remercie de cette réponse. Effectivement j’ai vu le sujet du débat d »Ophélie que j’ai mis de côté pour le lire.
Mon but n’est pas de critiquer tel ou tel ou tel choix mais une réflexion à voix haute comme tu l’as dit.
Ce que j’apprécie dans l’alimentation bio c’est sa diversité. D’ailleurs quand j’entends autour de moi dire; à force de regarder les émissions qui parlent des dégats de certaines consommations alimentaires on ne mangera plus rien cela m’exaspère. Je réponds. Allez dans les magasins bio et vous y trouverez plein de choses à manger.
Je ne suis pas forcément pour le tout local même si mes légumes je les choisis produits en France et au maximum pour les fruits je continue à acheter des bananes, du riz thaï mais aussi de Camargue… En ce qui me concerne je dis stop à un moment. J’estime qu’entre le riz, l’épeautre, le quinoa… j’ai déjà un large choix en céréales
Ai-je aussi besoin de diverses poudres pour me faire plaisir au petit déjeuner ou être en forme? A chacun sa consommation mais si tu m’envoies une lettre personnalisée où tu me présente cette nouvelle découverte, je pense pouvoir te répondre ce que j’en pense. Si je ne l’achèterai pas j’aurai au moins appris quelque chose. Cette discussion je l’ai eue il n’y a pas si longtemps avec une amie qui achète de l’huile de noix de coco mais qui n’achète que du quinoa produit en France. A part les puristes du locavore (difficile quand on est végétalienne) je pense que l’on a ses propres acceptations.
Bonjour Mély!
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs.. tous ce qui lieront.
J’ai eu le plaisir de découvrir le kañigua (écrit de manière locale) il y a deux ans dans un marché à Arequipa (ville au sud du Pérou). Dès que j’ai pu y goûter, j’ai aussi constaté ce goût fin de noisette comme tu le décris. Cependant, j’ai seulement le plaisir d’y manger sous forme « soufflée » dans des desserts et fromages blanc mais il reste un ajout très agréable.
Avec ceci, il y avait aussi du quinoa soufflé et du kiwicha. Cette dernière est toute blanche, plus croquante à son précédent et de la même petitesse que le Kaniwa.
Merci pour toutes ces connaissances que tu partages ainsi que pour la douceur offertes aux lecteurs. Si cela pouvait être réciproque, se serait avec plaisir!
A’rvi pa,
Bab’